Le tour du lac des Settons

En sous-bois
Pique-nique
Entre le ciel et l'eau.
Poste d'observation de la faune aquatique.
Quelles sont ces fleurs ?
Jacqueline C. a consulté sa flore et nous donne une réponse. Il s'agit du faux arnica appelé doronic d'Autriche qui pousse dans les forêts claires, le long des fossés ou des ruisseaux.
Merci Jacqueline
Nous avons tous le souvenir d'un passage aux Settons, claquant des dents sous une pluie glaciale. Nous aurons maintenant celui d'une promenade agréable, le sous-bois et l'altitude atténuant les ardeurs d'un soleil qui nous aurait accablés en tout autre lieu.
Nous étions 15, nombre appréciable en cette période de manifestations multiples. A neuf heures quinze, nous partions pour un périple qui ne dépassera pas 16 km suite aux aménagements réalisés pour nous permettre de franchir les endroits marécageux et nous éviter des détours par la route goudronnée. Jamais nous n'aurons une impression de foule ; si, un peu avant l'arrivée alors que, assis en terrasse, la plupart sirotaient un café, quelques autres préférant une boisson rafraîchissante. Une pente en gradins au bord de l'eau nous avait accueillis auparavant pour le pique-nique. Le terrain plat incitait à la flânerie permettant de découvrir la flore et la faune, en particulier les grèbes huppés et toute une variété de canards.
Même en adoptant un train de sénateur, nous avons terminé assez tôt dans l'après-midi. Il y a bien eu une timide proposition suggérant de refaire une partie du parcours. Elle n'a obtenu pour toute réponse qu'un silence éloquent.
La terre n'ayant pas modifié son sens de rotation par rapport au soleil, nous avons retrouvé nos voitures à l'ombre conformément à nos prévisions.

Pas que des randonneurs aux Settons

Belle réalisation du Parc du Morvan
Des voiliers, c'est normal
Et un pêcheur, normal aussi
Des motos. C'est comme ça qu'on les aime, sans les motards.
2 autostoppeuses mais il n'y a qu'une place !

Dans la jungle mâconnaise




UFOLEP 71 13 juin Cluny - Tramayes





Challenge UFOLEP, 1ère manche



Nous voici donc à la porte du car après bien des inquiétudes en ce qui concernait le temps que nous aurions. La température est idéale, le ciel un peu brumeux.
9 heures et quart, heure supposée du départ. Rémi est déjà là mais le club de Louhans et celui d'Uxeau se font attendre.
Nous sommes finalement 52 à nous retrouver sur la grand'place de Tramayes. Marie-Claire, Marie-Jeanne et Rémi, partis en éclaireurs, ont préparé le café.
Enfin, nous partons pour de bon. Après une montée sur la route d'environ 1 km, nous empruntons un chemin de crête permettant de découvrir les deux vallées qu'il domine. La route forestière est bordée de fleurs odorantes et nous découvrons les premiers bolets. Le rythme est assez soutenu même si le peloton s'étire, ce qui fait qu'à midi et quart nous avons atteint notre lieu de pique-nique, un morceau de prairie gentiment mis à notre disposition par le propriétaire d'une fermette. Quelques bruits de bouchons parviennent à nos oreilles sensibles à ce type de son. Dans les randos, il y a toujours des courageux n'hésitant pas à surcharger leur sac pour la bonne cause. Un concert de grenouilles vient nous assourdir au milieu du repas. Voulaient-elles protester contre notre intrusion à proximité de leur mare ?
Nous commencerons l'après-midi par une longue descente en direction de Sainte-Cécile. Nous longeons sur quelques centaines de mètres une départementale pour retrouver une voie ombragée. Une belle couleuvre sommeille en contrebas du chemin. Elle disparaît sous des branchages avant que les âmes sensibles ne s'évanouissent de terreur.
Voici Cluny. Comme souvent, nous sommes contents de poser les chaussures de marche. Les participants font signer leur passeport. L'étape 1 est terminée. Le bilan est plutôt positif. Prochaine épreuve en septembre, le 12, pour le parcours Cluny Messeugnes.

La première semaine de juin d'AMUR

AMUR sort de ses murs... pour donner un coup de main à d'autres structures.
Tout d'abord, mercredi 2, Geneviève B et Daniel ont participé au raid-nature organisé par l'association Dream adhérente de l'UFOLEP de la Nièvre. 200 jeunes associant handicapés et valides sont passés à différents ateliers-nature sur le site de Bibracte de 9 heures à 18 heures. Nous avions à réguler la circulation, les véhicules des organisateurs ne pouvant se croiser qu'à certains endroits. Après quelques moments de flottement dus à la découverte du maniement du talkie-walkie et de la reconnaissance des marques des véhicules mais aussi à cause d'une fraîcheur paralysante, Geneviève est devenue hyper performante dans l'émission et la réception des messages, Daniel se contentant de barrer si nécessaire la route aux automobilistes par ailleurs très disciplinés.
Ce vendredi, changement de décor puisqu'AMUR, dans le cadre des Jeux de l'OISAM avait délégué 4 de ses membres, Geneviève B et Roger au relais, Bernard R au lancer et Daniel à l'atelier rugby. Le temps splendide, la participation enthousiaste des scolaires et l'efficacité des encadrants comme des organisateurs ont contribué à la réussite de cette manifestation.

Retour sur le week-end à Lamoura

Lamoura, an IV en quelques instantanés.

Vendredi, aux environs de 16 heures, il faut tout le savoir-faire des chauffeurs pour répartir bagages et provisions.
19 heures 20, arrivée de la première voiture à la Chaux Berthod. Pas de suspense pour trouver la clef. Il n’y aura pas de course au trésor à travers le village comme en 2007. Choix des chambres, déchargement express du coffre et déjà Jean s’active aux fourneaux pour que tout soit opérationnel à l’arrivée des pros, Martine et Michel. Nous nous retrouvons 15 sur le coup de 20 h 30.
La tradition est respectée : ce sera pâtes à la carbonara.
Voici une recette piquée sur internet
Préparation : 5 min
Cuisson : 15 min

Ingrédients (pour 6 personnes) :
NB: Prendre des ingrédients de bonne qualité (achetés chez un traiteur italien, par exemple)
- 500 g de spaghetti
- 250 g de lardons
- 6 oeufs
- parmesan
- sel et poivre.

Préparation :
Faire cuire les pâtes dans une grande casserole d'eau salée, le temps indiqué sur le paquet.
Pendant ce temps, casser les oeufs dans un récipient, ajouter le parmesan râpé, et battre le tout; saler et poivrer. Faire cuire les lardons. Une fois les pâtes cuites, les égoutter, mais pas trop (toujours garder un peu d'eau pour les pâtes en sauce). Ajouter les lardons, avec leur jus de cuisson, porter à feu très doux et y ajouter la préparation (œuf, parmesan) en remuant sans arrêt. Eteindre le feu avant que la préparation devienne trop sèche ! Servir chaud, avec un peu de parmesan râpé en plus.

En ce qui nous concerne, c’était parfait. Comme d’habitude, pléthore de desserts et boisson en quantité suffisante.

Samedi matin, en attendant les 4 V.I.P. pris par des activités diverses vendredi soir, nous pourrions nous offrir un lever tardif mais ‘’ Qui vous Savez’’ nous offre un concert de couvercles à tirer du lit un paralytique.
9 h 20 , arrivée des 4 retardataires. Nous pourrons bientôt rouler en direction du col de la Faucille, point de départ de la randonnée.
A nous le Petit puis le Grand Mont Rond. Il fait beau. C’est plutôt moins dur que le Crêt Pelat et La Dole.
Le Mont Rond est un sommet du massif du Jura situé dans le département de l'Ain au-dessus de Gex culminant à 1 596 m d'altitude.
Il accueille un centre de télédiffusion TV au lieu-dit Petit Montrond et radio et un espace de ski alpin et nordique. Principal émetteur Français capté en Suisse romande : TF1 (C 27), France 2 (C 21) et France 3 (C 24), en polarisation horizontale. Canal+ est également diffusée sur cet émetteur, en polarisation verticale sur le canal L-05. Cet émetteur est essentiellement capté dans la région genevoise ainsi que dans le canton de Vaud (excepté certaine région du Jura vaudois) et le canton Fribourg (zone située à l'ouest des Préalpes).
Les photos vous en diront plus.
Rencontre au sommet avec un groupe de vététistes. Ils craquent devant les beignets de Dominique.
Arrivée en haut du Grand Mont Rond. Rien ne va plus. La polaire marron (sa couleur fétiche) de Ghyslaine a glissé de son sac. Jean l’accompagnera pour un trajet à rebrousse chemin. Un coup de téléphone nous rassure. Des promeneurs ont accroché à un piquet le précieux vêtement. Il y est encore. Nous nous retrouverons en bas. La descente à travers alpages et bois est agréable.
Pique-nique à la Faucille. Des tables nous attendent. Un café devrait nous faire digérer. Par contre, son prix nous reste sur l’estomac. 4 grands enfants veulent absolument faire un tour de luge d’été. Nous n’allons pas les contrarier.
Le petit circuit des Selmembergs entre Lajoux et Lamoura complète la rando. Mais auparavant, visite indispensable à la fromagerie des Moussières en vue de la raclette du soir. C’est l’occasion de faire des achats personnels, le rapport qualité prix étant attractif.
Retour au chalet. Arrosage au Champagne de la retraite de Geneviève et Jean. Les langues se délient pendant la dégustation de la Raclette. Les sujets de conversation sont variés. Vous saurez tout sur les multiples usages des éponges grâce à un brillant exposé de Christian ceci à partir d’un commentaire sur la production tout au long de l’année des fromages de chèvre. Si un quart d’heure de rire vaut un beefsteak, nous risquons l’indigestion. On découvre les photos de la journée, certaines un peu cruelles, d’autres un peu osées mais nous savons accepter nos imperfections et les facéties des copains.
Dimanche matin. Le bruit d’une pluie battante sur la toiture est encore plus douloureux à entendre que le tintamarre des couvercles.
10 courageux ou inconscients partiront pourtant pour une randonnée d’environ 7 km alors que les cultureux tireront profit d’une visite fort intéressante du Fort des Rousses.
L’apéritif tire en longueur. On tarde à se mettre à table. On sait qu’après nous devrons nous séparer. Il faut finir les restes. Défi gargantuesque car il y a de quoi faire mais on parviendra à nos fins.
Daniel a été égal à sa réputation ayant oublié en 2 jours sa gourde, son K.Way, son chapeau et un sac isotherme que des âmes charitables lui ont rapportés. Il prétend que c’est un test pour vérifier que ses troupes lui sont toujours dévouées.
Au milieu de l’après-midi, après la remise en ordre d’usage, il est temps de se quitter si l’on ne veut pas rentrer trop tard à la maison.
Retournera-t-on à Lamoura l’an prochain ? Il y aurait d’autres sites à découvrir mais aurons nous les mêmes facilités d’organisation et un prix de revient aussi intéressant ?

Images dans le désordre ; à vous de vous y retrouver !