Un carré de ciel gris, pas de pluie : idéal pour se lancer pour 10,5 km à partir de Fontenotte.
Echauffements indispensables car on démarre avec une belle petite côte. C'est l'occasion de tester le balisage de la marche Autun-Le Creusot jusqu'à Chapey : Sans surprise, il faudra l'améliorer pour le jour J.
Le terrain est humide, boueux et glissant et le vent vient de se lever. Nous marchons avec prudence sous les arbres car des branches à moitié cassées pendent au-dessus des sentiers.
Petit arrêt ravitaillement près des Pierres aux Saints avant la descente sur Velay.
Serge pense avoir perdu Noëlle, mais non ! Elle est bien là ! Elle n'était tout simplement pas dans son champ de vision !
Nous franchissons les barrières symboliques du Jean-Louis faites de bouts de ficelles bleues et de rubalise : ses vaches sont dociles et peut être bien dressées.
Après quelques dizaines de mètres sur la route goudronnée, nous prenons la montée jusqu'au carrefour du bassin de Choselin : les marcheurs venant d'Autun vont souffrir dans cette montée le 19 Avril.
Retour à Fontenotte en suivant le GR.
La matinée se termine par une dégustation de vin de Laurette et de guignolet maison.
Etirements après la douche !
AMUR, un site internet : www.louvetiere.fr... Pour découvrir les circuits : Dans le menu, aller sur "Randonner alentour".
Marche nordique de samedi 22 février
En route pour Janus …
Non, il ne s’agissait pas pour les 11 marcheurs, samedi
matin, de s’envoler vers une quelconque planète, mais bien de faire un test
...et découvrir un nouveau circuit pour la plupart d’entre eux.
Départ au plan d’eau du Vallon...ambiance glaciale !!
c’est vrai que nous sommes partis pour une marche ...nordique !!
Après l’échauffement, le groupe s’élance en direction du pas
de tir de Filhouse ( non, ce n’est pas comme Kourou!)...Derrière la butte, une
formidable grimpette ...mais la motivation était là !
Première pause à l’arrivée sur le chemin des gorges . Au
dessus du site d’escalade de la cascade de Brisecou, le groupe se reforme car
il va falloir « plonger » pour atteindre le ruisseau… l’occasion est
trop belle pour descendre en courant !
La remontée en direction de la ferme de Montmain se fera
sans difficultés ! Ouf, le plus dur était fait ...la descente sur Saint
Blaise, par un beau chemin, nous offrira de beaux panoramas sur la cité
éduenne...Puis ce sera la pierre de Couhard où nous rencontrons un autochtone
qui tenait absolument à nous raconter l’histoire du lavoir réhabilité… beau
travail !
Et c’est l’arrivée ...Catherine nous avait préparé un
reconstituant liquide de la région de Saint Véran et quelques spécialités
italiennes à grignoter ! Plus personne ne se plaignait des courbatures qui
commençaient à se faire sentir … 13 km , avec de forts dénivelés, oui, le
dimanche sera difficile !!
Marche douce du 20 février.
Marche douce du Martinet.
martinet :
·
nom
vernaculaire donné en français à plusieurs espèces d'oiseaux migrateurs de
la famille des Apodidae.
·
fouet
à lanières de cuir ou de corde.
·
machine
comportant une masse frappante mue au moyen d'une roue à cames et servant au
forgeage des petites pièces.
·
ensemble
de marteaux actionnés par l'énergie hydraulique.
·
avion
britannique monomoteur.
Ce jeudi 20 février au Martinet, Jacques
ne nous a pas fait avancer à coups de fouet, ni appris à actionner une machine
de forgeage, ni à jouer des marteaux hydrauliques, il ne nous a pas plus
transportés en avion monomoteur britannique et nous n’avons pas déployé des
ailes d’oiseau pour prendre notre envol.
Nous avons tout bêtement mis un pied
devant l’autre, un pied devant l’autre, et encore un pied dev…, et… pour
parcourir 6 km sans peine autour de
l’étang du Martinet, dans les bois et dans quelques flaques.
Nous étions seize plus notre fidèle
mascotte Dante à profiter de cette sympathique marche douce et ensoleillée.
LE MARTINET.
Le réservoir et le barrage, autre création de Schneider (1904), rappellent par
leur nom le fourneau et les forges qui ont fonctionné en aval de l’ancien étang
des Baumes (la N 80 passe sur la chaussée) ; les terrassements du barrage ont
fait apparaître les vestiges d’une forge spécialisée dans le matériel
d’armement qui fut réunie à celle de St- Emiland sous la Révolution. Le minerai
de fer était exploité sur place (crots ou chapeaux de fer) ; noter aussi la
maison du maître de forge du 18e s. au lieudit « Le Marquisat ».
Vestiges du
« hérisson » [de la voie romaine Chalon – Autun] entre Les Grosliers et Le
Martinet ; de part et d’autre du lac, elle prend la forme d’une levée qu’elle
conserve jusqu’à Montjeu.
Ici, de tout temps on a cassé la dalle de grès, et les carrières du pays
ont fourni les matériaux pour les monuments d’Autun : carrières d’Auxy pour les
édifices romains, carrière des Crots pour la cathédrale ; ailleurs on a
extrait des sarcophages (carrière du Pont d’Argent à Saint-Emiland), on a
taillé des bornes, des stèles gallo-romaines, des sculptures que
l’on peut admirer au
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