31 mars : sauvegardons les jonquilles


Chaque année, depuis que les douglas causent la disparition des jonquilles situées dans le massif de Montjeu, nous prélevons quelques bulbes et nous les repiquons à Champmartin dans un bois de chênes d'Amérique. Les plantes s'adaptent très bien et nous les voyons à nouveau refleurir. Espérons que les cueilleurs potentiels seront raisonnables et qu'ils n'arracheront pas les bulbes. La nature aidant, les générations futures devraient d'ici quelques décennies découvrir comme nous l'avons fait dans nos jeunes années le spectacle de vastes étendues de jonquilles en fleurs.

1 commentaire:

Julie a dit…

C'est une excellente idée à mon avis. Je pense qu'il faut aider la nature à se régénérer. En effet, cette dernière est assez lente à se régénérer et si on devait attendre, je pense que tout serait détruit d'ici là.