Cette marche avait été repoussée à cause des inondations.
Nous espérions des
chemins enneigés mais le redoux a créé des passages boueux et des flaques
importantes qui n’ont pas réussi à altérer la bonne humeur des 12 marcheurs et
ont même régalé Daniel, chaussé de ses bottes tous terrains.
L’esprit des marches
douces a été respecté, peu de dénivelé, peu de distance, peu de rapidité.
Les photographes ont
été inspirés par les arbres dénudés,
isolés ou alignés. Ils ont été sensibles au ciel encore bien sombre et ont
immortalisé des glaçons insensibles au redoux.
Le merle va-t-il
vouloir se faire aussi gros qu’un bœuf ou gonfle-t-il ses plumes pour
emmagasiner de la chaleur ?
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