Stage orientation à Jambles

17 stagiaires encadrés par 2 formateurs dont Daniel se sont retrouvés à Jambles dimanche 22 mai pour quelques exercices destinés à les rendre autonomes en randonnée.
6 adhérents d’AMUR ont participé à cette formation UFOLEP.

Après un accueil chaleureux suivi d’un pique-nique amélioré par des arrivages inattendus et conséquents de cerises les choses sérieuses ont pu commencer.
Tout d’abord chacun a été invité à repérer dans le paysage des éléments remarquables : ligne à haute tension , église, château, routes, bois, etc.
Il a fallu ensuite découvrir ces particularités sur la carte en l’orientant de manière à ce qu'image et réalité coïncident.
2 exercices devaient suivre : sur la carte, prendre en degrés une direction et retrouver cette direction sur le terrain et l’inverse, faire des visées et retrouver le point visé sur la carte.
Nantis de ces expériences, les groupes de 3 ou 4 ont pu partir sur des parcours différents de 5 à 6 km en s’aidant de la carte et de la boussole.
Le bilan est positif, la preuve, il y a une demande pour un nouveau stage sous forme de rallye nécessitant de tracer son parcours
 Le groupe au départ
Le chateau de Charnailles
 2 groupes échangent leurs iompressions
A l'arrivée, groupe au complet mais bien fatigué 

On est appliqué

Stage orientation à Jambles

17 stagiaires encadrés par 2 formateurs se sont retrouvés à Jambles dimanche 22 mai pour quelques exercices destinés à les rendre autonomes en randonnée.
6 adhérents d’AMUR ont participé.
Après un accueil chaleureux suivi d’un pique-nique amélioré par des arrivages conséquents de cerises les choses sérieuses ont pu commencer. Chacun a été invité à repérer dans le paysage des éléments remarquables : ligne à haute tension , église, château, routes, bois, etc.
Il a fallu ensuite découvrir ces particularités sur la carte  en l’orientant de manière à ce que image et réalité coïncident.
2 exercices devaient suivre : sur la carte, prendre en degrés une direction et retrouver cette direction sur le terrain et l’inverse, faire des visées et retrouver le point visé sur la carte.
Nantis de ces expériences, les groupes de 3 ou 4 ont pu partir sur des parcours différents de 5 à 6 km en s’aidant de la carte et de la boussole
Le bilan est positif, la preuve, il y a une demande pour un nouveau stage sous forme de rallye nécessitant de tracer son parcours

En train, pleins d’entrain.

Le spectacle des T.E.R. régulièrement vides nous déprimait. Il fallait faire quelque chose. C’est chose faite. A 12 heures 36, nous prenons d’assaut l’autorail arrêté en gare de Broyé (oui, vous avez bien lu). C’est ainsi qu’une voix impersonnelle et électronique a baptisé notre village.
11 dans le train. Le contrôleur n’en revient pas. Sa calculatrice non plus. 9 passagers d’un coup, elle veut bien. Au-delà, elle ne sait pas faire. Pour la SNCF nous ne serons pas 11 mais 9 plus 2.
Cela ne nous empêche pas d’arriver en gare d’Etang à 12 heures 45, comme prévu, une ponctualité que nous envieraient bien des utilisateurs de TGV ou de RER.
Nous longeons l’Arroux et découvrons à la maison du passeur les hauteurs d’eau atteintes par l’Arroux lors des plus grandes crues. Celle de 1789 nous laisse sceptiques. La pierre gravée qui indique la performance de la rivière n’aurait-elle pas été remontée de quelques mètres ?
Nous voici à présent sur l’ancienne ligne du tacot qui permettait de se rendre à Gueugnon puis à Digoin. Nous la quitterons pour suivre sur 200 mètres la route de Toulon avant de tourner à gauche en direction de La Chazée. Un âne vieillissant nous accueille dans le hameau avec d’interminables braiements. Plus loin, nous découvrons des juments accompagnées de leur poulain. Un chien aimerait bien que l’on s’aventure sur sa propriété pour mordiller du mollet de randonneur mais nous obliquons sur la gauche en direction des Mouillons. C’est notre première côte. Au loin, les monts du Morvan se distinguent nettement et la pluie que nous redoutions nous laisse en paix. Nous admirons quelques sculptures métalliques exposées en bordure de chemin et piquons sur Mesvres. La température est plutôt fraîche, ce qui n’est pas pour nous déplaire car, après la traversée du village, ça va être du sérieux. Nous nous alimentons aux Domas près d’une propriété restaurée avec goût et nous attaquons la montée à la Certenue. Jacques raconte la légende de la Dame de la Certenue. Nous sommes au cœur d’un territoire peuplé de légendes, hanté par des esprits malins. Ils feraient bien de nous pousser un peu car ça grimpe ferme. Nous voici devant la fontaine miraculeuse. « Alors, ce miracle, il vient ? » Il se manifestera par l’intermédiaire de Pascale qui retrouve une clé de 10 que nous avions perdue il y a une quinzaine de jours et qui était restée introuvable en dépit de longues recherches. Le tour de la montagne s’impose. Des coupes ont modifié le paysage. Nous descendons à l’aire de décollage des parapentes pour faire une lecture du paysage qui s’étend à nos pieds mais également pour souffler un peu.
Il nous reste une longue descente à accomplir jusqu’aux Petits. Jacques avise une pancarte en piteux état. Il terminera le parcours en martyre du balisage, ce minable trophée sur les épaules. La clé de dix se montrera utile pour séparer la pancarte de son support. Lorsque Martine nous propose de prendre un rafraîchissement dans sa maison, nous n’osons pas refuser mais que c’est donc dur de repartir. Heureusement, il ne reste que 500 mètres pour retrouver nos voitures.
Cette sortie linéaire avec un aller de 8 km par le train et un retour à pied d’une vingtaine de km était une première. Nous en sommes enchantés. Le parcours offrait de beaux paysages. Les horaires mal placés et la rareté des trains ne nous permettront pas de multiplier ce genre d’initiative.



 Un p'tit train...
 Il est à l'heure. A l'assaut !
 Le compartiment nous appartient
 La maison du passeur
 Joyeux groupe sur les rives de l'Arroux
 Un âne bavard
 Petit poulain deviendra grand
 Aux Domas, avant la Certenue
 Au fond, le Beuvray
 Parmi les genêts
 Paysage typique de chez nous
 C'est miraculeux. Nous avons retrouvé la clef de dix perdue il y a 15 jours.
Le martyre du baliseur mécréant

Lundi 9 mai : Runchy-Champmartin

Noël nous aura concocté une balade adaptée à la température presque caniculaire : que du sous-bois.
Après un bon kilomètre tout en douceur, nous voyions se dresser le sentier qui conduit au Tronchet. En s'accordant quelques pauses, les 10 participants (pour une fois les hommes étaient majoritaires) en venaient à bout, balisant la piste de gouttes de sueur. Le passage au bord des étangs du Fou nous enchantera toujours. A chaque fois, nous sommes étonnés par la sérénité du lieu.
Avant d'aborder la descente sur Champmartin, nous réalisions quelques travaux d'hydraulique, le ruisseau ayant été détourné dans le chemin par quelques galopins amateurs de barrages. Il y a un certain nombre d'années que nous n'osons nous avouer, nous aurions bien pu être ces chenapans. Le chemin est vraiment dégradé par endroit, alternant passages boueux ou rocheux. A quoi bon détourner les sources, les traces des roues de motos remettant l'eau au milieu du sentier.
A Champmartin, le tracé se dressait à nouveau mais nous obliquions assez vite sur la gauche pour emprunter le chemin de la Chicolle, occasion pour Noël d'évoquer des souvenirs d'enfance. Bernard s'asseyait dans le fauteuil du bureau champêtre insolite installé au milieu des arbres. Oeuvre d'art ou décharge sauvage ? Chacun interprétera selon sa sensibilité.
Nous revoilà au Tronchet mais nous suivions la route forestière de la Porolle pour descendre à la Fiolle. Quelques fenêtres s'ouvraient à travers les arbres pour nous permettre d'admirer les monts du Morvan.
Nous n'allions pas nous quitter brutalement. Nous reprenions les voitures pour nous installer au théâtre de verdure de Mesvres et déguster quelques chatteries préparées par les deux soeurs 



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Fête de la rando UFOLEP

La tradition perdure. Chaque 8 mai, l'UFOLEP 71 regroupe marcheurs et cyclosportifs. Depuis l'abandon de Serrières, le lieu de rassemblement pose problème puisqu'il faut trouver à la fois un site intéressant, une salle et un traiteur. Après Evelles l'an passé et presque surement la région louhannaise l'an prochain, Saint-Vallier a été retenu. Nous y étions déjà venus il y a une dizaine d'années, la position centrale de cette commune étant un argument supplémentaire pour le choix.
6 Amuriens avaient répondu présents, pourcentage intéressant par rapport aux 70 participants. Pour une fois, La Vaillante d'Autun a coiffé l'A.S.L.de Louhans quant au nombre de participants.











Dès 8 h 30, les cyclos partaient pour un périple de 70 km sur un parcours particulièrement vallonné. Une heure plus tard, les marcheurs démarraient à leur tour pour 10,5 km. St Romain sous Gourdon, joli village, se situait à mi-parcours. Une grande partie du trajet se passait en sous-bois, les zones découvertes permettant de découvrir des hameaux coquets. Notre ami l'âne, rencontré lors des reconnaissances est venu nous saluer comme à son habitude mais ce sont les chevaux qui ont tenu la vedette.
Quelques lacunes techniques ne nous ont pas empêché d'apprécier un excellent repas mais nous ont causé du retard. Sylvie et sa fille n'ont pas ménagé leur peine, aidées par quelques convives.
L'après-midi, un groupe conséquent avait choisi la visite du château de Digoine. Il paraît que le châtelain était tout à fait assorti à sa demeure. 17 marcheurs dont les 6 d'AMUR partaient à l'assaut du Mt St Vincent malgré la chaleur inhabituelle en cette saison. Le panorama mérite le voyage même si le Mt Blanc jouant les timides se cachait sous la brume. Nous vous recommandons d'ailleurs de séjourner dans l'ancienne gendarmerie reconvertie en gîte de charme.
La pétanque occupait les cyclistes, assez éprouvés par leur virée matinale.
Tout a une fin et à 19 heures, on pouvait rendre un local nettoyé soigneusement.
Nous étions assez pessimistes à 15 jours de cette manifestation. Nous avons fait aussi bien que l'année précédente ce qui ne nous empêchera pas d'avoir une réflexion sur l'avenir de ce rassemblement.

Marche des jacinthes à Toulon sur Arroux

 Au premier plan, 4 amuriens.
 Accueil princier.
 Chocolats à volonté
 Les genêts sont fleuris.
 Emplacement supposé du champ de bataille.
 En file indienne.
 Champ de jacinthes.
 symphonie en bleu.
 Montmort.
L'Arroux et Toulon.

Ce fut une belle journée. Nous nous souviendrons longtemps de l'accueil de nos amis de Toulon-Oxygène. Une cinquantaine de participants dont seulement cinq d'AMUR mais je continue de croire que le club existe encore, partaient à 9 heures trente précises pour rejoindre Montmort, but de la matinée. Un dénivelé montant progressif nous permettait de boucler les 10 km dans les temps. A midi sonnante, nous arrivions sur l'aire de pique-nique aménagée. En route, nous avions foulé le champ de bataille qui avait opposé César aux Helvètes. Champ de bataille supposé car des chercheurs suisses intrigués par des monticules évoquant de possibles fortifications avaient procédé à des fouilles qui s'étaient révélées infructueuses. Il paraît qu'outre les cadavres, tout était enlevé à l'issue des batailles, armes et bagages. Belle leçon de tri sélectif pour les écolos du 21ème siècle !
Il nous fallait bien 2 heures pour faire honneur à un apéritif grandiose, manger nos provisions et nous relaxer un peu avant de repartir. De temps à autre, des Toulonnais passaient avec des saladiers débordant de chocolats, dons d'un fabricant anonyme qui dote chaque année le club d'une cinquantaine de kg de ces friandises.
Les 8 ou 9 km du retour, souvent ombragés, étaient surtout constitués de descentes ou de plat. Nous arrivâmes enfin aux parterres de jacinthes. Malgré le printemps précoce elles étaient toujours en fleurs. Il faut au moins une fois dans sa vie découvrir cette étendue bleutée qui occupe une surface conséquente. 
Nous retrouvions les rives de l'Arroux et après les avoir suivies sur 2 km, nous arrivions au local du club. Boissons variées et pâtisseries maisons nous attendaient. Une tombola permettait à Dominique et Bernard de gagner des entrées à Diverti-Parc alors que Daniel se voyait doté d'un bâton de randonneur. 
Le soleil qui nous avait tenu compagnie toute la journée aura contribué également au succès de cette marche.
Prochaines sorties : Fête de la rando UFOLEP le 8 mai, 4 inscrits, marche du Fou le 9 mai, pas de postulants déclarés, Etang Broye le 14 mai, 2 partants, marche des Pierres qui croulent le 15, initiation à la boussole le 22, 2 inscrits. Espérons que les efforts des organisateurs seront davantage appréciés.  

Enfin une table d'orientation à Dettey



Elle n'est pas encore inaugurée, mais elle est installée. Elle a un certain cachet. Petit problème, lors de l'installation il y avait un épais brouillard et nous avons dû compter sur la boussole plus que sur le paysage pour retrouver nos marques. Je suis passé en ce 1er mai. La visibilité était bonne et le positionnement correct. Il reste quelques arbres à couper pour que l'angle de découverte du paysage soit élargi.