Le long du ruisseau du Rançon


Petite bruine pour accueillir les 6 marcheurs du jour … Devant la maison forestière de Montromble,  l’échauffement ne tarde pas… de haut en bas, tout est passé en revue … nous avons même testé l’exercice de passage de haie !!!

La descente sur Maison Loye  est entamée . La forêt est chatoyante … couleurs d’automne et même rayons de soleil nous encouragent. En chemin, nous saluons notre amie la girafe, un chasseur en pleine action de repérage de passage de gibier . Nous nous heurtons même à un bébé cep trop pressé  de finir au fond d’une poêle !

Déjà nous franchissons le Rançon, toujours aussi bruyant et tumultueux. L’habitude du lieu nous fait envie de faire la photo de groupe. Que nenni, ce sera pour plus tard… Pour l’instant, nous profitons de l’ambiance cathédrale provoquée par les grands hêtres … magnifiques !

Au barrage du Haut Rançon, nous constatons la baisse de niveau de ce plan d’eau mais cela n’enlève rien à la magie du lieu. La montée sur le Martinet ne nous prendra que peu de temps… Même constat, peut-être pire … mais où sont passés les mètres cubes ?

Avant de prendre le chemin de la grande rivière qui doit nous ramener à notre point de départ, il nous prend l’envie d’imiter quelques grands échassiers (voir photos!) … effet de la migration ???

Découverte aussi pour certains, des faines, que nous ne manquons pas de déguster … une façon de casser la graine ! !!

Nous voilà arrivés … même pas fatigués ! Pourtant 8 km !

Où nos pas nous conduiront ils la semaine prochaine ? Attendons le prochain mail …

CR rédigé par Pascal






Marche douce La Chapelle sous Uchon

 En passant par Le Murger, La Croix de la Débauche et Vilclair.

7km et 15 participants.









Marche à Buxy: Le chemin des perdrix




Les deux premières tentatives sur ce chemin des Perdrix avaient laissé le souvenir impérissable d’un déluge du meilleur cru. Ce n’est donc pas sans une certaine appréhension que nous avions proposé ce troisième essai.

Alleluia ! Cette fois, la Galipote du bois de Méruge s’est montrée bonne fille. Elle nous a ouvert un créneau météo idyllique dans une semaine plutôt morose.

C’est donc par un temps radieux qu’une vingtaine d’Amuriens ont pu (a pu ?) apprécier ce très joli circuit dédié essentiellement au nord du vignoble de Montagny.

Arès un dégourdissement sur la voie du chemin de fer, une montée régulière en crête, permettant de découvrir le village de Bissey-sous- Cruchaud (ah ! Cruchot), et les châteaux de Raveau (on ne visite pas) et de Rougeon (on y boit). Montée agrémentée par un circuit de motocross où quelques adeptes de la moto dite verte sonorisent quelques kilomètres carrés en participant au bilan carbone (mais, au moins, ils sont parqués !).

Le sommet atteint, le village de Buxy apparait à nouveau, au creux de ses vignes rougeoyantes.

La descente se poursuit, paisible, en direction de Buxy jusqu’à ce qu’un crapuchot sournois nous offre deux pans de mur du « vieux château ». Très belle vue alentour, mais pas une ligne à son sujet sur Internet. Qui saurait nous éclairer ?

La troupe ayant été sage, un supplément gratuit lui a été offert : le tour du village médiéval de Buxy.

Pour en savoir plus : « www.louvetiere.fr » : Randonner alentour > Les Escapades d’AMUR > 21-Buxy







Bissey

Le groupe


Buxy


Château Rougeon


La Tour  du Roi

Le mûrier de 1768

Le Pontet

Le vieux château

Le vin, c'est la vie !

Sur Bissey
 


De l'étang Descloix à la montagne Saint-Sébastien

 Pas un ciel flamboyant pour réchauffer les marcheurs courageux du jour … Etait ce l’envie de se retrouver dans l’effort qui nous a réuni ? Peut-être …

Sur le parking de départ, de nombreuses voitures auraient pu nous laisser croire que nous serons très nombreux ! Nous avions juste oublié que la veille , la pêche à la mouche venait d’être inaugurée sur l’étang .

Bon, nous nous élançons après un bon échauffement et nous partons en direction de la ferme de Montmain, histoire de varier un peu le parcours. Vite fait, bien fait nous arrivons à la bergerie … sur le sentier, les premières chataignes ralentissent les plus gourmands ou était ce en prévision de la grimpette promise ? Personne ne sera déçu ! La montée se fera avec beaucoup de sérénité et sans emballement… Nous retrouvons rapidement l’enceinte de la propriété du château de Montjeu. L’allure est bonne mais sans excès. Oui, il restera quand même à monter jusqu’à la croix !

Là haut, hélas, pas de vues sans limite sur la vallée de l’Arroux et les premiers contreforts du Morvan… Tant pis !

Le vent et le froid nous chasseront de cet endroit, retour en direction des Cloix en longeant le mur d’enceinte de Montjeu … Pour briser le calme qui régnait sur la palanquée, un cri, une chute (sans gravité) … oui, avec le terrain devenu glissant, c’était presque inévitable … Quelques granules et c’est reparti !

Nous arrivons maintenant sur les bords de l’étang des Cloix, sur les pontons, les premiers pêcheurs à la mouche … cela nous rappelle un film mythique ! Difficile de résister à l’envie de marquer de notre empreinte ce lieu presque canadien ! Miroir, mon beau miroir, dis moi si je suis le plus beau, la plus belle des marcheurs nordiques …

Et c’est déjà l’arrivée … Au compteur, environ 11km … une distance presque normale !

Samedi prochain, nous nous essaierons sur le circuit de Maison Loye, encore une belle balade à venir …

CR rédigé par Pascal






Marche nordique en Planoise

 

Embellie sur Planoise ...Nous étions 13 ce matin à se serrer les bâtons car un petit vent frais soufflait ce matin . Qu’importe, le programme proposé devait emmener le groupe sur un terrain plat sans difficulté … la distance ? Euh … l’animateur l’avait oubliée mais avait annoncé 8 km pour s’attirer les faveurs des plus recalcitrantes (!)…

Comme à l’accoutumée, les arrêts sont mis à profit pour s’hydrater, c’est important pour la pratique de la marche nordique et cela quelque soit la météo !!

Le train est assez soutenu et même notre néophyte ne se laisse pas distancer … les plus rapides du groupe, les fusées (!!) ont même eu l’élégance de revenir sur leurs pas pour attendre le reste du groupe …

Nous voilà sur la route forestiere de la garenne Saint Julien : c’est l’endroit idéal pour faire un peu de renforcement musculaire … avec quelques squats, régal de nos marcheurs !

Puis c’est le passage au milieu des houx, avant goût de la période d’avant Noël … Un toit, oui, c’est la maison de Blanche Neige … Les plus curieux s’aventureront même à l’intérieur pour s’assurer de sa présence … déception !

Mais il est temps de reprendre le chemin… sur le sentier, parsemé de maïs, on devine le passage de sangliers...on ne s’attardera pas !

L’aiguille est mise sur le Sud pour rejoindre l’allée de l’Epousée ...11, 9 km ! Ah oui, c’était une bonne balade …

A l’arrivée, Catherine nous invite à partager un moment convivial pour célébrer son anniversaire … Il paraît que mercredi prochain, ce sera une autre marcheuse nordique qui ajoutera une bougie à son compteur … Devinez qui ?

Merci à chacun et chacune pour ce moment partagé …

CR rédigé par Pascal













Marche douce aux Bizots

 

Jeudi 8 octobre 2020. Après-midi de ce début d’octobre sans pluie donc mémorable ! Nous sommes onze amuriens plus un bizotin. Mais où sont donc passés les 486 autres habitants du village ?  Nous en voyons un premier dans son jardin, ratissant les feuilles d’automne, pas avare de ses figues puisqu’il nous permet d’en manger quelques-unes si le cœur nous en dit. Nous sommes sur un circuit des balades vertes. Notre marche douce verte porte bien son nom : à peine 6km, peu de dénivelé.  Nous prenons le temps d’observer une chenille noire boulottant une feuille, d’éviter une mort prématurée à une autre égarée sur la route, d’admirer trois chevaux à la crinière blonde et deux magnifiques taureaux Aubrac derrière une bouchure, de faire des pauses, de   se réjouir de voir à quel point les prés ont  reverdi après les pluies des jours passés. Notre deuxième bizotin, il est assis sur un banc à un carrefour de chemins après la ferme de la Cruzille, un seau plein de mousserons et quelques rosés à ses pieds. Il a le bagou du gars à qui on la fait pas, qui connaît le coin comme sa poche et pourtant « il est pas d’là, il est d’Blanzy mais il est marié à une fille des Bizots depuis 40 ans ». Nous le laissons sur son auguste banc et descendons jusqu’au joli pont sur la Bize avant la dernière grimpette jusqu’à la place de l’église du village où nous avons garé nos voitures.