Marche nordique de samedi 27 février

Malgré la concurrence de la randonnée de l'après-midi à Chatel Moron, trois fidèles adeptes de la marche nordique ont exploré au cours de la matinée un nouveau circuit sur Saint Symphorien passant par la croix d'Eguilly et les Etangs. Le retour s'est fait par le même chemin, ce qui représente environ 6 km avec la découverte de beaux points de vue.
Si Michel s'est contenté de cette sortie matutinale, Monique et Martine ont enchaîné avec le parcours de l'après-midi.


Chatel Moron, le temps d'une bise.

Nous étions bien contents de nous faufiler dans les chemins creux. Dès que nous étions à découvert, une bise bien piquante rosissait les joues. Les 22 participants ont bouclé les 9 km d'un pas alerte et ne se sont pas trop attardés à la fin de la rando.
Des sentiers agréables,

un peu mouillés parfois,

souvent pentus,

nécessitant des pauses.

de beaux arbres.

les premières violettes.

des troncs éprouvés par le poids des ans,

cyclopéens.

Pas de coup de pompe.

Eglise romane de Chatel Moron.


Une belle ruine

Tronc ajouré.

Cabane dans les arbres.
carte du parcours du jour.

Délicatesse printanière avant l'heure.





Les randonneurs vanniers

Ce n'est pas parce qu'on est randonneur qu'on n'est pas capable de se servir également de ses mains.
Mais à la fin, que ce soit à l'issue d'une marche ou d'un travail manuel, on n'oublie pas les plaisirs de la table.









Au Balcon du Morvan

Un vent tempétueux nous ayant privés de la randonnée sur Broye samedi 13 février, nous sommes pressés de rechausser les godillots pour marcher à Dettey. 13 amuriens et 1 grand fiston venu rendre visite à sa maman composent le groupe. Ce circuit est archi-connu. Pourtant nous le pratiquons toujours avec le même plaisir. Nous savons que nous ferons une halte au pied du Bonnet du Diable qui, vu sous un autre angle ressemble  au profil de Napoléon, que nous en ferons une autre à la Pierre Croule à ne pas confondre avec la Pierre qui Croule et que Daniel prendra en photo pour la 125ème ou 126ème fois ces méga blocs granitiques. C'est également l'occasion de vérifier le balisage. Il faudra vite revoir la séparation de notre circuit avec celui des balades vertes. Notre marquage a été effacé alors qu'il est indispensable. D'autres marques peu visibles ou cachées par le lierre seront à revoir. Tout cela sera signalé à Jacques, organisateur de la répartition des tronçons à surveiller et entretenir par les baliseurs du club. Catherine de Marseille profite d'une pause pour nous raconter 2 histoires courtes mais savoureuses et Catherine de Bretagne  redit à ceux qui étaient absents la dernière fois comment le fils du vieux Corse qui n'a plus la force de faire son jardin a trouvé le moyen de lui venir en aide sans se déranger. 
Un corbeau est perché . Pas de renard au pied de l'arbre. Nous révisons nos classiques.

le corbac et le goupil 

Un pignouf de corbac sur un touffu planqué
S'envoyait dans la fiole un coulant baraqué.
Un goupil n'ayant eu un cent de clous pour bectance,
S'en vint lui dégoiser un tantinet jactance :
« Salut, dab croâsseur ! si tu pousses ta gueulante aussi bien qu't'es nippé
T'es l'mecton à la r'dresse le roitelet du quartier »
A ces ragots goiseurs qui n'étaient pas mariolles,
Le corbac lui renvoie le coulant dans la fiole.
Moralité
P'tit pars, si tu n'veux pas tomber dans la panade
N'esgourde point celui qui t'passe la pommade.


Nous terminons par un petit pèlerinage jusqu'à la tombe de notre cher Gilbert.


On commence par une belle descente

Bonnet du diable ou profil de Napoléon

La Pierre Croule.

Ce que ça sent bon et ça dégage les bronches !

Ralentir dans les virages.

Maison typique avec son muret.


Marche nordique du 6 février

Un retour et un nouveau.
Le retour, c'est celui de Martine et le nouveau, c'est Michel qui n'a pas encore le célèbre logo d'AMUR sur ses vêtements.
Toujours une moyenne aux alentours de 6,5 km/h pour un groupe qui, au complet, pourrait approcher les 10 participants. Nous sommes toujours en hiver mais avec le printemps, la distance pourrait bien augmenter.


 

Pas de bobos malgré un passage à Brisecou

Histoire sans paroles mais en images.

10 Amuriens sur un des circuits des Gorges.




























Comme d'habitude, il y a eu une séquence "histoires"

Brigitte et Robert nous ont ressorti un poème de La Fontaine revu et corrigé.

Le laboureur et ses enfants ou... Le glaiseux et ses lardons Un glaiseux plein aux as, sur le point de calencher
Fit radiner ses lardons et leur jacta en loucedé :
"Eh les mecs, faudrait pas vous gourer en fourguant
L'héritage que l'dabuche vous a balancé,
Des thunes, des faffiots y sont planqués."
Le dab clamsé, les niards y s'radinent au turbin
Et de rif et d'entort et dans tous les coinstots
Y z'en foutent un bon coup, comme des mecs à la r'dresse.
Nib de pèze, nib d'affure, pas même un pellot.
Mais le vieux dab fut mariole d'injecter aux loupiots
Qu'c'est avec le boulot qu'on fait le plus bath business.