26 février, randonnée à La Rochepot

Jacques nous a proposé une belle rando.
Pour la première fois depuis des lustres, il ne pleuvait pas, il ne faisait pas froid. Cela sentait même le début du printemps. Aussi, une vingtaine de randonneurs se retrouvent sur le coup de 14 heures à Melin, hameau important d’Auxey-Duresses. Après quelques explications rapides données par notre accompagnateur  sur la topographie du parcours, nous entamons une pente modérée qui nous permet de découvrir tour à  tour, abrités sous des falaises imposantes, les villages d’Orches, d’Evelles puis de Baubigny. La marche se poursuit sur un sentier bordé de buis inodores en cette saison  et nous surplombons le château de La Rochepot. Jacques fait un brillant exposé sur l’histoire de cette bâtisse et évoque les propriétaires les plus célèbres.
« Le Château de La Rochepot se dresse sur son piton rocheux depuis le XIIIe siècle, à proximité du château primitif d'Alexandre de Bourgogne (XIe siècle) dont on aperçoit les ruines en se promenant alentour.
http://www.larochepot.com/img/empty.gifA
u XVe siècle, il devient la demeure des Seigneurs Régnier et Philippe Pot, tous deux Chevaliers de la Toison d'Or et Conseillers des Ducs de Bourgogne.
Parmi les propriétaires successifs, on retient les noms des Montmorency et du Cardinal de Retz.
http://www.larochepot.com/img/empty.gifÀ la fin du XIXe siècle, le Colonel Sadi Carnot restaure avec grand soin, sur les plans de l'architecte Charles Suisse, l'ouvrage partiellement détruit à la Révolution. »  
Vu d’en bas, cerné par une végétation dense, il a des airs de château de la Belle au Bois Dormant.
Nous passons sur l’autre versant pour parvenir après une montée régulière à un beau chemin rural plat. Nous tombons comme souvent sur une battue. Nous faisions profil bas et regrettons nos gilets fluo restés dans les voitures. Pas d’incident à signaler. Nous palabrons pour déterminer le nom de la ville que nous découvrons en premier plan alors que Jacques préférerait que nous nous intéressions aux parcelles de vignes toutes proches destinées à produire le St Aubin apprécié de nous tous.   Nous rejoindrons Melin par une longue descente assez raide et nous nous félicitons d’avoir choisi ce sens pour la promenade.
Comme souvent dans ces villages bâtis sur le calcaire, il y a un lavoir. C’est l’endroit adéquat pour déguster de la pâtisserie faite maison bien plus originale que celle que l’on trouve dans le commerce mais dont la composition ne manque pas de nous inquiéter sur les effets secondaires qu’elle pourrait produire. A cet instant, nous avons une pensée pour Martine chargée de guider une association concurrente mais néanmoins amie sur un parcours qu’elle connaît bien. Nous imaginons que du coffre en forme de corne d’Abondance de sa voiture a dû sortir un saladier débordant de beignets.    















   

La goualante des défricheurs


" Le Défricheur de l'amur"

(sur l'air du "Poinçonneur des Lilas " de Gainsbourg )

 Je suis l' défricheur de l'amur
Le gars qui trime et qui s'prend des griffures
Y a pas de lézard, faut le faire, drôle de galère
Pour tuer la faim, dans ma sacoche
J'ai un bout d' lard et de brioche.
Et en taillant je me dis

Que des gars s' la coulent douce dans leur lit
Pendant ce temps que j'fais l'esclave
Dans c'bois pourrave
Parait qu' y a pas de sots métiers
Moi j' fais des tailles dans les bosquets

J'coupe du bois, du p'tit bois, encore du p'tit bois (bis)
Du p'tit bois, du p'tit bois, toujours du p'tit bois

Du bois et des ronces, des bois et des branches.
J'coupe du bois, du p'tit bois, encore du p'tit bois (bis)
Du p'tit bois, du p'tit bois, toujours du p'tit bois

Du petit bois, du petit bois, du petit bois.
 
Je suis l' défricheur de l'amur,
J'ouvre des sentiers, j'brûle la ramure
Je scie, j'ébranche, je bosse dur,
Et mêm' si j'en ai plein le dos
J'me donne à fond pour la rando.
 
J'coupe du bois, du p'tit bois, encore du p'tit bois (bis)
Du p'tit bois, du p'tit bois, toujours du p'tit bois

Du petit bois, du petit bois, du petit bois, du petit bois, du petit bois...

Catherine

 

La goualante des défricheurs

" Le Défricheur de l'amur"

(sur l'air du "Poinçonneur des Lilas " de Gainsbourg )
Je suis l' défricheur de l'amur
Le gars qui trime et qui s'prend des griffures
Y a pas de lézard, faut le faire, drôle de galère
Pour tuer la faim, dans ma sacoche
J'ai un bout d' lard et de brioche.
Et en taillant je me dis


Que des gars s' la coulent douce dans leur lit
Pendant ce temps que j'fais l'esclave
Dans c'bois pourrave
Parait qu' y a pas de sots métiers
Moi j' fais des tailles dans les bosquets

J'coupe du bois, du p'tit bois, encore du p'tit bois (bis)
Du p'tit bois, du p'tit bois, toujours du p'tit bois

Du bois et des ronces, des bois et des branches.
J'coupe du bois, du p'tit bois, encore du p'tit bois (bis)
Du p'tit bois, du p'tit bois, toujours du p'tit bois

Du petit bois, du petit bois, du petit bois.


Je suis l' défricheur de l'amur,
J'ouvre des sentiers, j'brûle la ramure
Je scie, j'ébranche, je bosse dur,
Et mêm' si j'en ai plein le dos
J'me donne à fond pour la rando.

J'coupe du bois, du p'tit bois, encore du p'tit bois (bis)
Du p'tit bois, du p'tit bois, toujours du p'tit bois

Du petit bois, du petit bois, du petit bois, du petit bois, du petit bois...



 
 

Ouverture du chemin de Bellevue (suite)

Daniel G. et Noël voulaient absolument venir à bout du passage totalement bouché par des prunelliers âgés d'environ 30 ans. Les esclaves attitrés, Jacques et Daniel D., aidés par Arnaud le farfadet, étaient chargés d'approvisionner un feu d'enfer attisé par un vent d'ouest nord-ouest plutôt frisquet. Parvenu à ce que Jacques a osé appeler une clairière, Noël a changé de rythme, slalomant à travers les troncs, soucieux d'épargner des essences plus nobles tout en permettant le passage des futurs randonneurs.
L'après-midi a été consacré à la pose, à Dettey, de 2 panneaux afin d'orienter sans équivoque les utilisateurs des Voies Celtes et des Balades Vertes. Le Maire que l'on tenait à avertir de notre passage nous a invités à découvrir sa nouvelle salle des fêtes, une réalisation dont on attend avec impatience l'inauguration officielle.
Un farfadet s'est joint à l'équipe
AMUR n'a pas aboli l'esclavage
Un feu d'enfer pour éliminer des épines malfaisantes 
Noël aura le dernier mot mais pas sans maux
2 nouveaux panneaux pour guider les promeneurs

  

Chemin de Bellevue


Ces deux clichés vous donnent une idée de l'ampleur du chantier que conduisent Daniel et Noël.
 La bonne humeur règne
Arnaud veille à ce que son grand-père respecte son régime.
L'ouverture du chemin de Bellevue a déjà occupé 3 matinées et ce n'est pas fini. Il faut frayer une piste dans un enchevêtrement d'épines noires et il n'est pas possible de travailler à plus de trois. AMUR a le souci de conserver à ce sentier un statut de voie piétonnière.




Marche en forêt de Planoise.

On n'a pas bien compris comment cette marche s'est retrouvée inscrite un lundi et on ne saura jamais qui l'avait proposée. Peut-être qu'un morceau de copié-collé du calendrier de l'an passé nous aura échappé. Oui, c'est surement cela. C'est encore cette foutue machine qui nous aura joué un tour. Peu importe ; le Président a assumé et à son agréable surprise, il a compté un peu plus d'une douzaine de participants dont 4 non adhérents venus tester l'ambiance.
Nous voici à proximité de l'ancienne maison forestière de Montromble. Deux panneaux signalant une battue nous indiquent la direction à ne pas prendre. Le Plateau est vaste. Nous partons à l'opposé en suivant la départementale sur un km. On imagine la scène en plein mois d'août. Nous empruntons les longues allées forestières rectilignes mais plates. La forêt si agréable d'ordinaire est aujourd'hui tristounette. Le mot d'ordre pourrait être "circulez, y'a rien à voir" . Chacun va à son rythme, plutôt à celui de ses bavardages. Nous passons devant le relais de chasse du Marquisat, désert. Pas pour longtemps car nous croisons, s'y rendant, une cohorte de véhicules de chasseurs, reflets des trains de vie apparemment très différents de leurs occupants. La nature prend soudain un parfum de grand boulevard. Nous n'ajoutons pas à l'itinérare la petite boucle supplémentaire prévue initialement, le parcours ayant éprouvé un ou deux organismes.
Jeudi, c'est marche santé à La Tagnière et le 26 février une sortie pédestre du côté de la Rochepot. N'oublions pas ce samedi l'Assemblée Générale du Comité Départemental de La Randonnée Pédestre à St Rémy afin de soutenir Jacqueline et Pascal, membres du Bureau.
Lundi soir, c'était également l'AG de l'Office de Tourisme intercommunal auquel adhère AMUR. Cette association monte en puissance avec ses 94 adhérents, ses 9 jeudis BVAM maintenant bien rôdés et surtout ses compétences en informatique, gages d'une communication performante.


Randonnée gourmande

Ce serait en juin 2013 mais ce n'est pas trop tôt pour une réunion de prise de contact entre l'association des cuisiniers chère à Martine, le Comité des Fêtes de Broye et AMUR, chaque entité apportant ses propres compétences dans les domaines qui la concernent. 
Les grandes lignes ont été lancées, déroulement de la manifestation, longueur et profil du parcours, composition possible du menu, animations à prévoir, matériel à envisager, démarches à entreprendre, autorisations à obtenir.
Il faut maintenant concrétiser ces belles idées. Chaque association est repartie avec son lot de problèmes à résoudre.
Il n'y a pas eu de date précise retenue pour se retrouver. Inutile de se revoir avant d'avoir un maximum de réponses aux questions que chaque association emporte dans sa besace, condition nécessaire pour démarrer sur des bases solides.
Une réunion chez Martine ne peut pas se terminer sans un apéritif et sans qu'à l'apéritif succède un vrai repas. Nous avons bien senti que nous l'aurions vexée si nous avions refusé d'y faire honneur. 

Marche santé de St Sym à Marmagne


2 février. Moins 6 °. Ce n’est pas la Sibérie mais c’est l’occasion de ressortir les doudounes et les bonnets. Nos mannequins vous présentent une collection variée. Mais qui se cache derrière ces tenues ? Je vous aide ; dans le désordre, Edith, Catherine, Daniel, Marie-Claire, Jef , Monique et une invitée, Mauricette. Le huitième participant a échappé à l’objectif du photographe. 


Février dans toute sa splendeur

Jeux de glace

Je monte la garde

Nourris à l'Autunite