Troisième randonnée gourmande

Elle aura lieu le 7 Juin.
Vous pouvez vous inscrire dès à présent (voir bulletin d'inscription  ci-dessous à télécharger ) en indiquant l'heure approximative à laquelle vous souhaitez partir, sachant qu'un départ aura lieu environ tous les 1/4 d'heures avec un maximum de 30 personnes.

Pour les groupes constitués, veuillez désigner un responsable chargé de comptabiliser et de distribuer les cartes d'inscription à leurs membres, ce qui nous facilitera l'organisation en évitant les retards et, dans la mesure du possible, les départs décalés. Un chèque d'inscription global serait également le bienvenu, si possible.

Une mise à jour régulière du blog sera effectuée afin de vous positionner dans les groupes de départ.

Merci et à bientôt.

IMPORTANT !!! au-dessus de 300, les inscriptions seront prises en liste d'attente jusqu'au 15 Mai car il peut y avoir des désistements. En cas d'impossibilité votre chèque vous sera retourné avec nos regrets de ne pas vous compter parmi nous cette année.

Places Disponibles par Tranches Horaires

11H00:    0
11H15:    0
11H30:    0
11H45:    0
  12H00:   0 
12H15:    0
12H30:    0
12H45:    0
13H00:    0
13H15:    0


NOMBRE D'INSCRITS LE 24 Avril : 
+ de 300
COMPLET !!!!
 
Vous serez désormais sur liste d'attente
jusqu'à 20 inscriptions 



 
 
 
Menu 
 
Terrine maison et mortadelle
 
Emincé de poulet sauce écrevisses et ses pommes safranées
 
Fromages de pays
 
Tartouillot de poires et coulis de cassis
 
 
Kir de bienvenue, Chardonnay blanc, cadet de Paris L'Hôpital, Hautes Côtes de Beaune, Crémant de Bourgogne ( à consommer avec modération), eau , boissons sans alcool, café.
 
 
 
ANIMATIONS
 
 
Aux Fontenottes : Un duo de  rockers creusotins qui ont fait les beaux jours et les nuits des années 60-70 et qui n'ont jamais vraiment posé leur guitare : Le Skud et le Dju.
 
 
A la Bonde : Les Trimardeurs, autre duo de guitares acoustiques dont fait partie Emilio Armilles, notre artiste local qui vous remémoreront les plus belles chansons des années passées avec Ferrat, Brel, Brassens, Mouloudji.... 
 
 
A la Cadole : Hot Five Swing, du jazz new orleans qui va déménager...
 
 
A la salle des fêtes : un peu de musette pour ceux qui auront encore envie de danser.
 
 

 
 
 
 
 

 
 
 
 

Escapade en terre nivernaise.

Allo, à l’eau Jack.
L’absence de réseau sur les portables a parfois du bon.
Dimanche, 7h45 : quelques irréductibles marcheurs se retrouvent sur la place de la Mairie pour une journée de randonnée à l’étang de Baye et le long du canal du Nivernais plus précisément la tranchée de la Colancelle et l’échelle de Sardy.
Il pleut et les infos météo sont pessimistes. Peut-être que les intempéries se sont calmées dans la Nièvre. Pas moyen d’établir le contact avec Claudine et Jacques.
Allons déjà à Autun.
Nouvelle tentative de contact, nouvel échec.
Nous roulons toujours. De plaines en forêts, de vallons en collines (Jean Ferrat), nous n’en finissons pas de passer de l’espoir à l’abattement, du découragement à l’optimisme, le ciel s’éclaircissant ou s’assombrissant toutes les 5 mn.
Nous sommes à 6 km du but quand la liaison est enfin établie et voici pourquoi le manque de réseau a du bon :
« Si vous m’aviez eu à 7 h 45, je vous aurais dit d’annuler car il pleuvait à seaux sur le canal» nous  confirme Jacques.
Le ciel souffre toujours d’incontinence mais nous sentons bien que ce sont les dernières gouttes.

Au départ : équipé contre la pluie

Nous voici partis. Noël jubile, pas la moindre trace de résineux.
Nous surplombons une profonde tranchée qui permet au canal de suivre une courbe de niveau. Là où le sol argileux était instable, trois tunnels ont été creusés. Je nous imagine, armés de lampes électriques, longeant sur un trottoir étroit et gluant les eaux obscures, évitant les attaques de rapaces nocturnes, frôlés par les chauves-souris, hantés par le souvenir des bagnards qui ont perdu la vie dans les éboulements. Suis-je bien réveillé ?

Jacques est intarissable sur l’histoire du canal, (voir article précédent) ponctuant chaque événement de chiffres et de dates sans oublier quelques anecdotes comme la construction du pont ayant permis à un ingénieur amoureux d’une accorte fermière de lui éviter un détour conséquent et surtout de la rejoindre facilement.
 
L’horizon s’élargit. Nous ne surplombons plus la tranchée mais nous longeons le canal en dénombrant une à une les écluses très rapprochées pour compenser un dénivelé de 40 m. A proximité de la dixième, nous découvrons le bateau de Jacques.
 


 
 
Claudine se joint à nous. Nos estomacs crient famine car le petit déjeuner du matin est bien loin. Les maisons des éclusiers sont occupées maintenant par des artistes ou des artisans d’art hauts en couleur.




 
 (Ce sont les abords de leurs habitations qui nous le suggèrent avant que Jacques ne nous le confirme), occupent notre esprit mais c’est avec soulagement que nous atteignons la seizième écluse et ses tables de pique-nique. Les sièges ont séché, c’est du moins ce que nous croyons car nous repartirons, les fesses bien fraîches.
Un rayon de soleil fait son apparition. « Il va nous chauffer une beurrée » entend-on. En attendant, chacun déballe son en-cas, les moins égoïstes proposant même quelques gâteries. Nous apprécions ces gestes désintéressés.


Le groupe repart, amputé de quelques unités qui attendront notre retour au bateau.  Nous traversons une voie ferrée qui sert au transport de ballast extrait d’une carrière proche. Les pauses se succèdent.
 
Brigitte, intriguée par le caractère géologique du territoire nous livre le résultat de ses recherches faites au retour :
« Je me suis penchée, mais sans tomber, sur les "porphyres" entrecoupés de glaise qui me chiffonnaient hier.
Voici le résultat de mes cogitations; je ne sais pas si cela vous intéressera, mais tant pis.
J'ai découvert que le terme de "porphyre" recouvrait plusieurs choses (comme d'ailleurs "granit" sans "e")
 C'est une roche rare, utilisée dans la construction de statues, tombeaux.. Mais c'est aussi un nom donné par les carriers à toute roche ayant plus ou moins un aspect rougeâtre. 
 Hier, ce terme s'appliquait à 2 roches différentes!!!
L'une, la rhyolite, roche volcanique, provenant donc d'éruptions (fort lointaines dans le temps) peut être entrecoupée de glaise: la lave s'est, je suppose déposée dans un milieu aquatique, puis a été recouverte par un sédiments argileux)
L'autre est une roche de granite rose à gros cristaux que les géologues appellent "porphyroïde" (vous voyez la malignité du truc!!)
D'après la carte géologique, ces 2 roches sont présentes dans le secteur que nous avons traversé. »
Brigitte est également sollicitée pour ses connaissances en botanique, les nôtres faisant fi des infimes particularités qui distinguent parfois deux espèces.
 SDF cherche abri (la coquille était vide)
Neige, non pétales de cerisiers

La beurrée annoncée au cours du repas de midi se manifeste par quelques coups de tonnerre éloignés avant de s’abattre sur la troupe. Heureusement, une épicerie abandonnée à Sardy les Epiry nous offre l’abri de son avancée.



 
Un quart d’heure plus tard, nous repartons. Nous abordons la seule côte du parcours, encouragés par un troupeau qui s’approche, attiré par le poncho rouge vif de Martine puis qui s’enfuit en débandade, effrayé par nos parapluies. La pluie cesse. Nous atteignons la rigole de l’Yonne. L’environnement forestier est enchanteur. Catherine en vient à oublier sa garrigue méridionale, subjuguée par le vert tendre des hêtres et le calme du site.
Et c’est le retour au bateau de Jacques. Claudine, aux petits soins pour nous, propose des boissons chaudes et quelques gâteaux.
 
Nous terminons les quatre derniers kilomètres de notre circuit sur un bateau propulsé par un moteur électrique. Nous empruntons la tranchée et les trois tunnels de la Colancelle.
 
 Nous ne sommes pas seuls. Un groupe associant musiciens, écrivains, cinéastes nous tient compagnie. Bernard Lavilliers est à l’honneur, magnifié par un chanteur au look et à la voix tout à fait dans le ton.  Un dernier tour sur l’étang de Baye marquera le terminus de notre escapade. Un espace pique-nique nous permet de prendre une collation à la santé des organisateurs. Un magnifique arc en ciel aux couleurs très vives nous tient compagnie sur la totalité du parcours du retour, arc de triomphe démesuré pour célébrer la vaillance des onze marcheurs d’AMUR.

Coucher de soleil.

Photos de Michelle et de Claudine

Les Seize écluses, Canal du Nivernais


Le canal du Nivernais


Il relie la Loire à l’Yonne de Saint-Léger-des-Vignes (189 m) à Auxerre (98 m) en franchissant un bief de partage à 262 m. Il comprend 116 écluses sur 174 km. Menacé de fermeture dans les années 60, il est sauvé, en grande partie par l'action de Pierre-Paul Zivy (le Z de Kazed !), pour la plaisance et est considéré maintenant comme un des plus beaux d’Europe.

Le canal est alimenté par les étangs réservoirs de Vaux, Baye et Pannecières-Chaumard, par des passages dans le lit des rivières (râcles) et plusieurs prises d'eau sur l'Yonne et la Cure.

Histoire de la construction

Le bois du Morvan s’avérant insuffisant pour alimenter Paris au cours des hivers rigoureux, des travaux sont entrepris en1784 pour créer un canal à écluses qui permettrait à des bateaux de remonter les buches du Bazois jusqu’à la ligne de partage des eaux entre Loire et Yonne. De là, on rejoindrait le système de flottage en place depuis le XVIème siècle dans la vallée de Sardy, moyennant une rigole en partie souterraine, qui les emmènerait dans l'Yonne puis à Paris. Au vu de l’avancement des travaux en 1786, il est décidé d'en faire un vrai canal de Loire en Seine, par l'Yonne. Les travaux seront suspendus par la révolution jusqu’en 1822. Le chantier connut encore bien des vicissitudes, et le canal fut totalement ouvert en 1841 seulement. Cependant, le flottage se poursuivra, parallèlement à la navigation, jusqu’en 1923.

Le bief de partage


Sur 4 km, le canal franchit la ligne de partage des eaux à une vingtaine de mètres sous le niveau du sol par une tranchée profonde et des tunnels. La première voûte de 760 mètres a été percée dans un mélange de roche très dure et de glaise. On voit les traces d’un éboulement qui, dit-on, ensevelit 70 bagnards au cours du chantier, lequel a fait de nombreuses autres victimes. Trois puits d’extraction aèrent et éclairent (faiblement) l’ouvrage. Un marchepied de 80 cm de large a servi au halage humain des bateaux jusqu’à l’installation d’un toueur à chaine en1901.

Les deux autres tunnels (268m et 212m) ont été construits « à ciel ouvert » pour pallier l’instabilité des terrains.

Un pont franchit la tranchée pour desservir les ruines d’une ferme. On dit qu’il a été construit par l’ingénieur … amoureux de la fermière.

Philippe Fougerolle (1806-1883) un maçon de la Creuse participa à ces travaux, à l'issue desquels il a fondé l'entreprise Fougerolle en 1844. Aujourd'hui cette entreprise est intégrée au groupe Eiffage.

L’échelle de la Vallée de Sardy


A partir de la fin de la tranchée, à Port Brulé, seize écluses dévalent les 40 mètres de la vallée sur 3,5 km. Il faut environ 5 heures à un bateau pour les franchir, accompagné par une équipe d’éclusiers itinérants. Chaque écluse était dotée d’une maison éclusière, dont certaines sont occupées actuellement par des artistes :

- Gérard, dit « l’Indien », ancien éclusier, grand routard, remarquable photographe, chez qui il fait bon s’arrêter pour déguster du thé et des histoires, au milieu d’un bric-à-brac de génie.

- Virgil, sculpteur sur pierre, qui parsème la vallée de ses œuvres et de celles de ses amis.

- Un potier de chez qui il est difficile de repartir les mains vides …

- En saison, à la dernière écluse, l’office de tourisme de Corbigny délègue une dame qui propose livres, cartes ; boissons et informations diverses sur le canal. (Et notamment le livre qui sait tout sur le canal :
« Un canal qui faillit être une impasse »)

On retrouve d’anciennes carrières de porphyre qui on fait un temps le renom de la vallée. Il reste même quelques rails d’un « Decauville » qui transportait les pierres jusqu’à un concasseur installé avant la dernière écluse, où les bateaux étaient chargés.


Le gabarit des écluses


En 1820, une première tentative de normalisation des écluses a été engagée par François Louis Becquet (Directeur Général des Ponts et Chaussées) : 30 x 5,20 mètres.

Par une loi du programme de 1879, Charles de Freycinet promeut une norme européenne qui porte la dimension des sas d'écluse à 40 m de long pour 5,20 m de large, afin qu'elles soient franchissables par des péniches de 300 ou 350 tonnes avec 1,80/2,20 m de tirant d'eau. Suite à cette norme, de nombreux travaux ont été engagés à la fin du XIXe et au début du XXe siècle pour moderniser les canaux et harmoniser la navigation fluviale.

Ces travaux ont été engagés à partir de 1880 aux deux extrémités du canal du Nivernais mais interrompus par la concurrence du chemin de fer. Le canal reste inaccessible aux bateaux de commerce dans sa partie centrale, (de l’avant-dernière écluse de notre vallée jusqu’à Cercy-la-Tour), ce qui a accéléré sa désaffection et a failli provoquer sa fermeture.

Qui a inventé l’écluse


Pas Léonard de Vinci comme on le prétend si souvent. Marco Polo en aurait ramené le principe de Chine. Pas sûr (D’ailleurs on ne sait pas s’il y est réellement allé ou s’il en aurait seulement entendu parler par des marchands !). Par contre on trouve encore des traces de bassins fermés par deux pertuis à aiguilles, notamment sur l’Ourcq et le Thouet (en Vendée) datant du début du XVème siècle. En revanche, on doit à Léonard d’avoir perfectionné le système en dessinant le sas maçonné et les portes busquées.

Le circuit des Gorges

Encore un de nos circuits favoris

Le circuit

Le dénivelé
 
La nouvelle plaque du torque

La cascade
 Le soleil et l'ombre ne facilitent pas la prise de vue.




en file indienne
La ferme de Montmain

La maison des Biques

Autun

Passez par où vous voulez

mur fleuri

Re-Autun

Photo de famille (1)

Photo fde famille (2)

Pèlerinage annuel à Brisecou en 13 chapitres

Chapitre 1er.

Où, près de la Pierre de Couhard, l’on apprend que les doux-marcheurs de ce jeudi 23 avril de l’an 2015 sont au nombre de treize, comme les treize doux-desserts et comme les treize chapitres du récit.

Chapitre 2.

Où, après quelques pas, l’on fait une première halte pour s’esbaudir devant la plaque des circuits Amur, nouvellement remplacée, sous l’auguste torque.

Chapitre 3. 

Où l’on rappelle au secrétaire- correspondant qu’il s’agit d’une marche douce et où il s’en suit logiquement que le dit secrétaire-correspondant adopte le pas du sénateur.

Chapitre 4

Où l’on chemine en devisant, le long d’un ruisseau à l’onde pure, sous la frondaison toute nouvelle.

Chapitre 5

Où la joyeuse troupe passe le pont sur le torrent et fait une seconde halte au pied de l’exubérante cascade de Brisecou, qui soit-dit en passant, n’a rien à envier aux chutes Victoria ou d’Iguaçu.

Chapitre 6

Où l’on poursuit la marche dans le bois jusqu’à la D120 et où l’on fait une troisième halte, riche d’enseignements

Chapitre 7

Où l’on apprend donc, pendant cette halte, comment servir le champagne que l’on n’a pas à des visiteurs allemands, où l’on apprend également quelle direction prendre pour la Trifouillée et où il est question d’un tailleur, de portes de grange et de pétrolette.

Chapitre 8.

Où l’on traverse la D120 et où l’on constate que le Bois derrière est devant.

Chapitre 9

Où l’on rencontre un serrurier à Montmain et où l’on en profite pour faire une nouvelle halte et aller pider à l’intérieur de la maison fraîchement restaurée.

Chapitre 10

Où l’on passe près de la maison des biques et où l’on fait une nécessaire halte sur la route forestière qui descend à la Chicolle, afin de profiter de la vue, nouvellement dégagée, de la cathédrale et de la belle ville  d’Autun.

Chapitre 11

Où l’on s’interroge sur la présence d’un portail de fer, solidement verrouillé.

Chapitre 12

Où, guidés par V., l’Autunoise, l’on traverse le Bourg de Saint Blaise par des petits chemins charmants et où l’on fait une énième halte pour admirer un mur fleuri.

Chapitre 13

Où, après l’unique coup d’cul du périple, on pose son fessier sur un muret pour une ultime halte et où l’on regagne Couhard.

De la théorie à la pratique

Depuis 8 jours Bernard K. fait partie des 7700 baliseurs officiels de la FFRP qui se partagent en général sur 2 ans l'entretien des 180000 km de sentiers répertoriés sur le territoire. 
Escorté de Daniel, chargé de l'aider ou de tester ses compétences, on ne sait pas bien, il commence par tracer une marque jaune peu après le départ du circuit de Découvertes de La Louvetière. Un quidam n'avait-il pas osé avoir une hésitation dans l'interprétation du guidage mis en place par Jacques, pourtant un maître en la matière !
Ce test se révélant concluant, Bernard est autorisé à remonter dans la voiture à bas coût de Daniel pour se rendre à Moulin-Guinot, à la jonction entre le GR 137 et le GR 131. Il doit maintenant interpréter un morceau en 2 puis 3 couleurs, un sentier de petite randonnée empruntant le même itinéraire après 200 m.
Les conditions atmosphériques sont parfaites, la peinture pas trop coulante. Les 3 pinceaux sont calés dans 3 récipients au long col face à 3 petits bocaux à demi-remplis de jaune, de blanc et de rouge. 
Daniel râpe le tronc et Bernard applique le pochoir pour un travail sans bavure.
2 heures plus tard, nous avons parcouru 1100 m. Ce n'est pas une grosse moyenne mais les 500 m à 17% du début et les 4 intersections nécessitant selon la situation de 5 à 8 marquages puisque l'on balise dans les 2 sens expliquent ce 0,5 km/h.


Si nous considérons que nous avons environ 24 km à remettre en état à 2 pour être dans la moyenne nationale, il nous reste 46 heures de travail. Mais je pense qu'avec des passages moins pentus et sans trop d'intersection nous allons bientôt passer à 2 km/h, ce qui est en général la norme.
Le parcours remis en état


Application du pochoir

Intersection

virage à gauche
Les Combards

 
 

Sortie botanique près de Rully


Notre sortie botanique du dimanche 19 avril en images.

Un grand merci à JB de la Société d’Histoire Naturelle du Creusot et son épouse, qui ont préparé ce voyage au pays des plantes, fleurs, arbres et arbustes de la région de Rully. Le printemps était au rendez-vous, grand ciel bleu, soleil généreux, le chant de la fauvette à tête noire et du rossignol…
 




 




 












 
Même avec le plan joint à l'affichette, il était difficile de trouver le point de départ..
Merci Catherine pour ces photos.