Marche des marrons grillés

Allumage du feu
Départ avec le sourire
Il faut boire avant d'avoir soif
La végétation a repris ses droits
Paysage coloré
Viens voir un troupeau d'humains
Ici, le rocher est roi
Rencontre habituelle
Sous le châtaignier
Appétissant
Il n'y a pas que des marrons à déguster
Chacun décortique les châtaignes
 Cela faisait plus de dix ans qu’AMUR n’avait pas mis une randonnée des châtaignes à son calendrier.
Plutôt que de choisir un rassemblement au plateau sportif de Broye comme par le passé, le club a innové en investissant (avec sa bénédiction) la châtaigneraie de Christian.
En fin de matinée, sacrifiant une mi-temps de la finale de la coupe du monde de rugby, merci aux appareils enregistreurs qui permettent de remonter le temps, une équipe réduite prépare le foyer . Il faut accumuler les braises pour que, sur le coup de 16 h 30, les randonneurs trouvent des marrons cuits à point.  
A 13 h 45, Bernard accueille la trentaine de participants et les conseille pour la disposition des véhicules, l’espace étant mesuré. Le groupe part en direction du massif d’Uchon puis redescend sur la vallée de la Brume pour, arrivé aux Sautots, se diriger vers Maison-Dru.
Le beau temps est de la partie, les merisiers parsèment les surfaces boisées de leur feuillage écarlate. C’est une journée d’automne dont il faut absolument profiter avant de subir les pluies glaciales de novembre et les crépuscules précoces.
Pendant ce temps, Michel et Daniel s’activent autour du feu, calmant les ardeurs des flammes qui transforment les châtaignes en sphères calcinées ou tempêtant contre les braises paresseuses de notre barbecue artisanal qui sont inefficaces. Les grandes poêles fabriquées sur mesure par des bricoleurs maîtres dans l’art de la chaudronnerie et de la soudure se révèlent idéales et peu à peu notre magot augmente.  
Tout est prêt au retour de nos marcheurs. Le vin doux conservé par Martine accompagne les marrons ainsi que plusieurs pâtisseries faites maison toutes plus originales les unes que les autres. Personne n’est pressé de regagner ses pénates jusqu’à ce que la fraîcheur qui commence à pointer nous incite à partir. Daniel profite de l’instant pour distribuer les licences et annoncer la marche du dimanche 6 novembre sur les terres de nos amis de Saint-Sernin du Bois. 

Marche des marrons grillés

Cela faisait plus de dix ans qu’AMUR n’avait pas mis une randonnée des châtaignes à son calendrier.
Plutôt que de choisir un rassemblement au plateau sportif de Broye comme par le passé, le club a innové en investissant (avec sa bénédiction) la châtaigneraie de Christian.
En fin de matinée, sacrifiant une mi-temps de la finale de la coupe du monde de rugby, merci aux appareils enregistreurs qui permettent de remonter le temps, une équipe réduite prépare le foyer . Il faut accumuler les braises pour que, sur le coup de 16 h 30, les randonneurs trouvent des marrons cuits à point.  
A 13 h 45, Bernard accueille la trentaine de participants et les conseille pour la disposition des véhicules, l’espace étant mesuré. Le groupe part en direction du massif d’Uchon puis redescend sur la vallée de la Brume pour, arrivé aux Sautots, se diriger vers Maison-Dru.
Le beau temps est de la partie, les merisiers parsèment les surfaces boisées de leur feuillage écarlate. C’est une journée d’automne dont il faut absolument profiter avant de subir les pluies glaciales de novembre et les crépuscules précoces.
Pendant ce temps, Michel et Daniel s’activent autour du feu, calmant les ardeurs des flammes qui transforment les châtaignes en sphères calcinées ou tempêtant contre les braises paresseuses de notre barbecue artisanal qui sont inefficaces. Les grandes poêles fabriquées sur mesure par des bricoleurs maîtres dans l’art de la chaudronnerie et de la soudure se révèlent idéales et peu à peu notre magot augmente.  
Tout est prêt au retour de nos marcheurs. Le vin doux conservé par Martine accompagne les marrons ainsi que plusieurs pâtisseries faites maison toutes plus originales les unes que les autres. Personne n’est pressé de regagner ses pénates jusqu’à ce que la fraîcheur qui commence à pointer nous incite à partir. Daniel profite de l’instant pour distribuer les licences et annoncer la marche du dimanche 6 novembre sur les terres de nos amis de Saint-Sernin du Bois.

Balade santé à la Certenue

Quelques photos résument la diversité du parcours.
Le groupe
Au long du sentier

Amanite tue-mouche
Première girolle
Ruine dans la peute rue
Maison abandonnée

Cadavre qui dut être exquis
Les randonneurs de la table ronde
Récolte modeste
Botanique
Face au Mont Jeunot
Zoom sur l'église de Broye

A la table d'orientation
Géocarte
Abri secret

Repos
Zoom sur l'église de La Chapelle
Panorama sur Broye
Chapelle de La Certenue
Curiosité ou soif de savoir ?
Steak à l'état brut
C’est un essai. Considérons que ce genre de marche s’adresse plutôt aux  retraités mais Marie-Jo et Laurent qui se trouvaient de repos nous rejoignent.
Nous sommes huit à partir de la Croix de Montrion pour un trajet classique empruntant le GR 131 en direction de Maupoy puis la Peute Rue, passant par la Danse, sacrifiant aux deux points de vue depuis les aires d’envol des parapentes et se terminant par la Fontaine dite miraculeuse et la petite chapelle de la Certenue. 
Les soi-disant « petits »marcheurs ont digéré sans problème trois dénivelés bien pentus ce qui nous permettra d’envisager des sorties courtes mais relativement accidentées.
Nous avons laissé un petit mot dans la boîte à paroles dissimulée dans un creux du muret bordant le site de la table d’orientation.
Nous proposerons en novembre une nouvelle sortie de ce type et nous pourrons l’ouvrir à des personnes que de trop longues distances effraient.  

Histoire de chaussures

Quand le président doit pallier l'étourderie de ses randonneurs
 


 


Notre Président
Ses baskets, ses chaussures de randonnée
Ses embauchoirs


Randonnée à Blanot. Dimanche 2 Octobre.
Randonnée à Blanot. Dimanche 2 Octobre.


Notre Président

Ses baskets, ses chaussures de randonnée

Ses embauchoirs


Les pieds de Monique et ses sandalettes

Notre Sponsor et sa casquette





Paroles de pieds, de pompes,d'embauchoirs et de président .






















Randonnée à Blanot. Dimanche 2 Octobre.


Notre Président

Ses baskets, ses chaussures de randonnée

Ses embauchoirs


Les pieds de Monique et ses sandalettes

Notre Sponsor et sa casquette





Paroles de pieds, de pompes,d'embauchoirs et de président .






Randonnée à Blanot. Dimanche 2 Octobre.


Notre Président

Ses baskets, ses chaussures de randonnée

Ses embauchoirs


Les pieds de Monique et ses sandalettes

Notre Sponsor et sa casquette





Paroles de pieds, de pompes,d'embauchoirs et de président .

Histoire de pieds

AMUR profite de l'été indien

En deux dimanches nous nous serons emparés d’un maximum de lumière et de chaleur afin d’affronter sereinement les premières périodes de froidure et de pluie qui ne manqueront pas d’arriver bientôt.
A l’issue d’un trajet d’un peu plus d’une heure, nous nous regroupons à Blanot sur une placette ombragée. Angoisse de Monique, elle a oublié de mettre dans le coffre ses chaussures de randonnées. Elle récupère une paire de tennis qui se révélera un peu juste. Les 24 marcheurs, sous la conduite de Jean, attaquent une côte qui servira d’échauffement. Nous sommes rapidement en sous-bois évoluant sur un agréable sentier souvent bordé de murets de pierres sèches. Nous quittons la forêt pour découvrir le vignoble. Nous descendons. Quelques raisins restent sur les ceps mais ils sont desséchés ; par contre les noyers se montrent généreux, éparpillant leurs fruits à nos pieds. A Nouville, nous découvrons un premier lavoir très bien conservé. Le hameau est quasi désert et nous supposons que les remarquables maisons mâconnaises en pierres apparentes avec leur galerie couverte accessible par un escalier également de pierre sont pour la plupart des résidences secondaires.
Nous franchissons un ruisseau et nous amorçons la montée qui nous conduira au sommet du Mont Saint Romain. Un jeune chat s’est mis en tête de nous suivre. Bernard le ramène aux premières maisons. L’animal pense que c’est un jeu. « Je te suis, tu me ramènes, je te re-suis, tu me re-ramène. » Nous avons dû franchir les limites de son territoire car il abandonne la partie à moins que … plus raisonnable que nous, il ne se risque pas dans la pente qui prend des pourcentages démesurés. Et pour corser la fête, nous faisons deux pas en avant et un en arrière à cause de pierres qui roulent sous les chaussures.
La récompense se présente sous la forme d’une aire d’envol de parapente, lieu choisi pour le pique-nique par Roger et Jean à moins que ce ne soit par Marie-France et Geneviève. La vue est splendide, aérienne, dégagée. Nouvelle angoisse. Marie-Thérèse s’est méprise dans le choix de son sac de victuailles. Ce n’est pas catastrophique, seulement cocasse lorsqu’elle déballe 6 fromages de chèvre achetés la veille au marché. Le troc va fonctionner à merveille et elle va se retrouver avec un menu tout à fait équilibré alors que nous nous régalons de ce supplément imprévu.
Quelques hectomètres supplémentaires nous amènent au sommet du Mont St Romain (579 m). Le temps est brumeux ce qui n’empêche pas certains de distinguer le sommet du Mont Blanc. (Ils ne sont pas les premiers à avoir des apparitions).
Nous entamons une longue descente jusqu’à Blanot. Nous passons à proximité des grottes fermées en cette saison.
Les grottes de Blanot s’ouvrent dans la gorge de la Mangette sur le flanc Ouest du Mont st Romain, point culminant du Clunisois.
De formation très ancienne (fin tertiaire), la grotte se développe dans les calcaires du Bajociens (Jurassique), dans une zone tourmentée faite de courts panneaux calcaires entrecoupés de failles importantes. Cette bande de calcaire vient buter contre les micro-granites du Mont st Romain.

Les traces de la connaissance de ce gouffre remontent aux écrits du Dr Benoît Dumolin de Cluny en 1739. Les excursions étant rares, les grottes ne furent pas très prisées aux XVIII et XIX siècles. 
La suite est-elle liée à l’arrivée des congés payés ? Ce n’est que vers 1940 que vont redémarrer les explorations. L’attrait du monde souterrain lié à l’essor des clubs de spéléologie permettra d’accroître peu à peu les réseaux de visite ; l’exploitation d’abord privée devient communale avec, progressivement, de nettes améliorations du parcours. 
Le don de la grotte par M. Miot à la Commune de Blanot date du 4 mai 1959.
La visite guidée dure environ une heure, elle vous fait découvrir plusieurs réseaux en boucle en descendant à 80 mètres au dessous du niveau du sol. Tantôt vastes espaces, tantôt boyaux étriqués, cette grotte a gardé en partie son authenticité. Tenue adaptée et forme physique sont recommandées.
La température, constante, est de 13°
 www.cestenfrance.net/art/Grottes_de_Blanot

 

Le groupe se scinde en deux au hameau de Fouguières. Les uns, tenaillés par la faim choisissent un raccourci, les autres, assoiffés de culture visitent le hameau. Nous ne nous retrouvons pas tout de suite à Blanot et comme Daniel semble avoir oublié que la boisson est dans le coffre de sa voiture, il s’attire des remarques téléphoniques péremptoires. Tout rentre dans l’ordre. La tradition est respectée et l’on attend que Geneviève nous communique la recette de son gâteau aux carottes et aux noisettes. Espérons qu’elle figurera en bonne place sur le blog.
La visite du village est un peu disparate mais appréciée. Le prieuré du XVIème siècle se restaure. Nous admirons l’église, le lavoir et rendons visite au potier qui expose de belles pièces à un prix tout à fait raisonnable.
Il est temps de nous quitter. Nous nous retrouverons le 23 octobre, cette fois près de chez nous pour un rendez-vous automnal consacré à la châtaigne.
Au départ

sentier bordé de murets

Vignoble du Mâconnais

Vieille belle maison typique du Mâconnais

Scène champêtre

Vue panoramique depuis l'aire de pique-nique

Zoom sur Nouville

Ripailles

Plat unique

Mal des montagnes ou repas trop arrosé ?

On m'avait parlé d'une table d'orientation. Je m'interroge.

Prémices de l'automne
Lavoir classé

Arrivée à Blanot

Le prieuré

L'église

La poterie

Fin de balade

Qu'ont-ils en commun ?