Marche au Tronchet


A fredonner sur l'air de "Une Chanson Douce"

 Une marche douce
Que  guide le président,         
Marchant sur la mousse
Nous  allons en papotant.
Cette marche douce
Nous  en sommes très friands
Car l'ambiance est douce
Ce beau jeudi de printemps.

  La Cath   

Ferme abandonnée au Fou
Pan de mur, pan de notre histoire

Où cet escalier conduit-il ? Tout un symbole
Qui donnera l'explication ?
Le Plateau et la vallée du Haut Rançon

     


Encore une frontière qui s'ouvre...


Chemin de Bellevue

Dernière intervention musclée sur le chemin. Noël et Jacques ont fini d’équiper les échelets (qu’en Auvergne on appelle des « sautadous »).
Les agriculteurs se sont engagés à déplacer les clôtures pour séparer les bêtes et les randonneurs. (Eternelle question philosophique : de quel côté de la clôture sommes-nous ?).
Il ne manquera plus que le passage du baliseur (officiel) pour que le Président puisse inaugurer avec toutes ses ouailles la réouverture d’un chemin qui évitera la ferme de Salechien (pardon, de Bellevue)
Si entre temps une exploration vous tente, la voie est ouverte, mais à partager avec quelques bêtes à cornes, dont un taureau sourcilleux. Attendez plutôt que les clôtures soient en place.
Un échelet breveté AMUR

Passage de haie
Test de solidité

La paulée

Reconnaissance de la marche entre Le Creusot et Autun

Nous étions une bonne quarantaine et, dans le groupe, les 12 marcheurs d'AMUR faisaient bonne figure , plutôt à la traîne, non par manque de tonus mais parce qu'ils prennent le temps d'admirer le paysage. D'ailleurs M.Thérèse et Daniel ont tenu, dans la côte la plus pentue, à montrer aux petits jeunots qu'ils pouvaient soutenir leur rythme. Etait-ce intelligent de leur part ? Nous vous en laissons seuls juges.
Sinon, que dire du parcours de 15 km ? Il est assez sportif avec 3 beaux dénivelés compensés par  quelques vues appréciables : la Tour du Bost, la vallée de la Brume, des échappées sur les massifs de la Certenue et Montjeu entre autres.
C'est toujours un plaisir de retrouver les anciens qui en sont à leur 22ème reconnaissance mais au juste, combien étaient-ils ? à peine plus que les 5 doigts d'une main. C'est donc positif de constater qu'il y a une relève.
Et puis par cette matinée ensoleillée, c'était le grand retour de Ghyslaine et Pascal dans les rangs d'AMUR, un événement que l'on attendait depuis leur dernière apparition, le 2 octobre. Ont-ils hiberné, engourdis par le climat rude de Fragny  ? En tout cas, ils sont en pleine forme. Nous voilà rassurés.
Nous avons terminé par un pique-nique, bien abrités du vent, à proximité de pins. Pour un peu, on se serait cru dans le midi. Marie-France avait confectionné un délicieux gâteau au chocolat que la perte de nos calories du matin nous autorisait à déguster sans remords. Cette escapade se terminait par quelques difficultés à se relever des bordures en ciment qui nous avaient servi de sièges.  
Première difficulté
Les pervenches sont en fleurs
On quitte les pulls
un long ruban de marcheurs
Frise
La Tour du Bost

C'est une marche champêtre






Bouilland

Jacques a fait une chouette balade dont il veut vous faire profiter.
Un paysage du Vercors à 10 minutes de Beaune : La Combe à la Vieille…
Une idée de balade un peu loin de chez nous, certes, mais facile, même sans guide, et à combiner avec un tour à Beaune pour compléter la journée.
On peut partir du village de Bouilland, mais je conseille plutôt de se garer sur l’aire prévue pour les grimpeurs, au bas de la Combe à la Vieille (sur la D2 en direction de Bouilland, 3km400 après la petite route de Clavoillon)
Quant au paysage, voyez plutôt :
Un passage sous une arche dans la falaise, une abbaye en ruine, puis le joli village de Bouilland. Sur l’autre versant, un chemin en corniche surplombant la vallée jusqu’à un éperon. Et pour finir une combe verdoyante (la vieille est l’ancien nom du grand duc).
Le tout en 8 km…mais 370 m de dénivelé (et un court passage très raide sous l’arche) !
Bonne promenade.
http://www.openrunner.com/index.php?id=1187584








Aux jonquilles

Nous avions pour mission de guider vers des lieux fleuris de jonquilles des familles provenant des centres sociaux et maisons de quartiers de la Ville ed'Autun. Nous nous retrouvons 27 au Monument Magnard dont 9 marcheurs d'Amur. La balade sera modeste, le groupe balayant une vaste tranche d'âge de 3 à 71 ans. Après un bon km de route forestière, nous obliquons à gauche dans une espèce de savane. L'impatience du groupe est rapidement calmée car nous découvrons bientôt les premières touffes fleuries. Mais les jonquilles se méritent. Elles prennent un malin plaisir à pousser sous des ronces ou dans des lieux humides. Daniel ayant repéré le site dans la semaine conduit le groupe de places en places. Des coups de sifflets prolongés rassemblent les cueilleurs égayés au gré des découvertes et l'on repart vers de nouveaux parterres fleuris. Un fossé profond sert de repère pour rejoindre l'allée forestière qui permettra de retrouver les voitures. Il faut en franchir un tout aussi creux pour se retrouver enfin sur un chemin carrossable. Tout le monde passe l'obstacle sans incident, des mains secourables se tendant pour aider les moins sûrs. Axel, forestier dans l'âme, redresse les piquets défaillants, encourage par l'exemple les sauteurs inexpérimentés et exhibe un bouquet important, ayant bien pris soin de n'arracher aucun ognon.
A 16 h 15 la balade se termine, ce qui permettra à AMUR d'enchaîner avec un magnifique concert d'un quatuor à cordes proposé par le Comité des Fêtes de Broye. 

Office de Tourisme de Beuvray Val d'Arroux-Mesvrin

Le site de l'Office de Tourisme de Beuvray Val d'Arroux-Mesvrin fait peau neuve. Vous pouvez le consulter dans la liste de nos amis à droite sur notre blog.

Le charme d'une balade en Morvan

Considérant que les circuits de l’AMUR sont suffisamment connus, balisés et entretenus (ô combien), pour ne pas nécessiter d’accompagnateur, j’ai pris le parti de découvrir des pays différents du nôtre … à moins d’une heure de route.
Après les vignes de Saint-Romain, les grands espaces de Poisson ou les friches de La Rochepot, j’ai donc proposé, cette fois, de côtoyer le Morvan profond … et c’est la vallée du Ternin, depuis Chissey en Morvan qui était visée, cette fois.
Bien que l’aire de pique nique annoncée, soit réduite à l’aire (supposons que les tables étaient rentrées pour l’hiver), chacun a trouvé le lieu du rendez-vous. Nous nous sommes joyeusement engagés sur la petite route qui suit la vallée du Ternin, ponctuée de quelques souvenirs de moulins.
La route est devenue chemin pour folâtrer en forêt avant de rejoindre le bord du ruisseau. Et quel ruisseau !
Clair et sauvage sous des frondaisons un peu sèches en cette saison mais qui ne demandent qu’à devenir frais ombrage.
En tant que cuistre de service, je déclare que ces eaux vives sont réputées pour leurs salmonidés, cyprinidés et autres migrateurs amphihalins … ce que Brigitte traduit par des chevaines, des carpes et des saumons.
Pour agrémenter le parcours, le chemin se transforme momentanément en sentier avec passage de clôtures et de ruisseau. De part et d’autre du chemin, des troncs fraîchement coupés témoignent de l’intervention d’Attilas locaux.
Puis une ravissante vallée nous élève jusqu’au sommet de la balade, d’où la vue s’étend sur un bel échantillon du Morvan sauvage.
Redescente paisible jusqu’à la vallée du Ternin, où Monique profite d’une pause pour faire la promotion de la marche nordique face à une assistance attentive (voir photo).
Le retour au parking se solde, bien entendu, par l’apparition de nourritures terrestres concoctées par Monique et Brigitte (La pâtisserie de Brigitte, rehaussée au jus de pomme (5 ans d’âge) a, évidemment, donné lieu à un récital d’Audiard …)

Le Ternin
pont prévu pour un Ternin gonflé
Le berger surveille son troupeau
Le Ternin mais au mois d'août
Passage technique
oeuvre d'art brut
La photo est trompeuse ; une côte se précise
Les Crots Barbizot (en août)
Reconstitution de la bataille de Verdun
Abandon, simple pause ou simulacre d'épuisement ?
Conférence sur la marche nordique par Monique
Casse-croûte : cherchez l'intrus(e)

Les participants ayant exprimé leur satisfaction, le pauvre guide se voit contraint de replonger dans ses cartes pour essayer de renouveler l’expérience
Brigitte avait fait un gâteau qui a plu et dont voici la recette

                                                                 Le Cake du Ternin
Battre 3 œufs avec 150 grammes de sucre; ajouter 175g de farine, le tiers d'un paquet de levure chimique, 150g de beurre salé fondu; bien mélanger.
Puis ajouter une grosse pomme râpée (de type reinette ou Granny) et une cuillerée à café de cannelle en poudre.
Faire cuire à 180° pendant 30 à 45 minutes.
Quand le gateau est cuit, l'arroser avec 3 cuillerées à soupe de calvados (ou plus si affinité) quand il est encore chaud
Bonne dégustation.


Histoire de l'ouverture du chemin de Bellevue

Des nouvelles du chemin de Bellevue.
Rallier La Croix Blanchot depuis St Symphorien, n’était possible qu’en risquant le bas de son pantalon en traversant une zone hostile. Et c’était dommage, car la vue y est magnifique et ce passage déterminait un circuit en boucle facile et agréable.
Or, le cadastre se souvenait du « Chemin rural de Martigny à la Croix Blanchot »
Comme beaucoup de ses semblables, il a été peu à peu abandonné au profit des routes voisines, puis quelque peu grignoté par ses riverains.
Grace aux démarches de l’AMUR auprès des autorités et à la conciliation avec les riverains, nous avons reçu l’autorisation … et la mission de rouvrir cet itinéraire oublié.
Si un de nos amis se souvient d’y avoir vu régulièrement une 203 dans les années 60, il n’aura pas fallu moins de cinq matinées à nos Attilas pour venir à bout des 290 mètres de l’ancien chemin, au départ de la route de Bellevue.
La lutte a été sans merci contre des buissons d’épine, des ronces, et autres calamités piquantes.
Aujourd’hui, l’avenir paraît plus serein. Le chemin longera des haies, il franchira quelques clôtures par des échelets et se fraiera un sentier dans un petit bois.
Les Attilas sont rassurés : il reste encore de l’ouvrage.
Petit rappel : Pourquoi Attila ? Parce qu’il aurait dit : « Là où passe mon cheval, l'herbe ne repousse pas. ». Et quand on a vu travailler nos camarades, on comprend mieux. Mais la comparaison s’arrête là, car ils sont infiniment plus fréquentables que ledit.
Jacques
Ici sera un chemin
Un chemin revit

Les Attilas à l'oeuvre
Après
Le dernier bastion
La victoire

Attila : le vrai

Marche santé sur Uchon

Petite maison dans la prairie
 Uchon et ses murets
Une belle queule
 En sous-bois
Premières jonquilles
 Dinosaure, lézard ou...
Au bord de l'Etang Neuf

Les marches-santé semblent avoir pris leur rythme de croisière et nous réunissons régulièrement une douzaine de participants. Il s'est constitué un noyau de fidèles autour duquel gravitent à tour de rôle des participants moins réguliers victimes d'imprévus de dernière minute. Cette sortie à Uchon n'avait rien à voir avec celle de janvier à tel point que nous envisageons de faire la marche des Rois à cette époque de l'année. Nous pouvons bien nous permettre quelques entorses avec les traditions. Le fait marquant aura été la découverte de nos premières jonquilles encore en boutons pour la plupart. Nous aurons le plaisir de les voir s'épanouir. Autre surprise, nous avons croisé des promeneurs alors que jusqu'à présent nous nous sentions seuls sur les chemins. La période des randonnées de masse reprend et chaque dimanche nous aurons l'embarras du choix pour sélectionner celle qui aura notre préférence.