Brisecou


Une marche douce, douce, douce mais pas dénuée d’intérêt... D’abord, nous sommes 11, ce qui est dans la moyenne de ce type de rando et plutôt mieux que ces 2 derniers mois.
Jef avait regretté de n’avoir pas pu participer à l’édition du 1er mars et nous nous étions dit que cette balade serait à refaire au cours du printemps.
Alors qu’en mars le ruisseau de la cascade avait un débit très réduit, ce n’est pas le cas  en ce jeudi 24 mai. Nous longeons dans la partie montante un torrent fougueux et la cascade a de l’allure. Comme il fait beau, nous n’hésitons pas à faire des haltes répétées consacrées à des échanges divers : rappel des promenades du jeudi remontant aux années 50/60 pour les anciens collégiens de Bonaparte  avec l’évocation du Tecca et son triporteur recélant des glaces ou des marrons selon la saison, souvenir des caramels à 1 ou 2 centimes vendus à la petite épicerie de Couhard, information sur les différents captages publics ou privés alimentant la ville d’Autun et ses institutions (entre autres, école militaire ou évêché), mais également rappel des jeux innocents ou pas du local de l’étape. Le moment le plus intéressant, à mon avis, aura été l’écoute et l’identification des chants d’oiseaux par un de nos spécialistes en ornithologie, leçon qui risque fort d’être oubliée faute de pratique.
De retour au parking de la Pierre de Couhard, une énigme prêtant à de multiples interprétations dont certaines dignes de figurer dans les gauloiseries morvandelles, nous découvrons la mise en place d'un  jardin botanique. Il sera à visiter quand il sera terminé d’autant qu’Alain, un Broyant, s’investit beaucoup dans sa réalisation.
Pas de dégustation à l’arrivée. Nous ne perdons pas suffisamment de calories pour nous permettre un accroc préjudiciable à la plastique de chacun.









Journée dans le Mâconnais

La balade prévue dans le Mâconnais lors de l’élaboration du calendrier et sa date à la mi-mai avaient fait en son temps l’unanimité. AMUR propose, le hasard dispose. 7 marcheurs seulement ont pu se retrouver à Davayé à 9 heures 30 pour une randonnée d’environ 16 km comportant la montée à la Roche de Vergisson puis à celle de Solutré après un crochet par la Combe Poncet, le mont Torvon et la Grange du Bois.
La température caniculaire 2 jours plus tôt a fait place à une fraîcheur propice à la marche. La visibilité est acceptable mais moins bonne que lors de la reconnaissance malheureusement effectuée sous la pluie. Du coup, nous n’avons pas à craindre les dérapages ou les chutes sur les pierres glissantes.
Mâcon a toujours 15 jours d’avance sur nous en ce qui concerne le développement de la nature. Nous profitons d’une éclosion de fleurs dont nous bénéficierons à nouveau dans l’Autunois d’ici fin mai. La flore sur sol calcaire nous réserve quelques pièges que le chemin thématique de Solutré nous aidera à résoudre. Lors de la reconnaissance, Louise nous avait permis de découvrir la salle hors sac du site de Solutré. Le bâtiment tout neuf permet également de découvrir une librairie spécialisée et une exposition très bien faite. Le vent étant assez frais , nous pique-niquons à l’abri. La montée sur la Roche de Solutré a tout d’une promenade mis à part les 150 derniers mètres. Le retour sur Davayé à travers les vignes permet de découvrir les jeunes raisins déjà formés. Une perdrix quasi domestique folâtre devant nous avant de disparaître dans un buisson. Nous faisons une halte à proximité d’un lavoir remarquablement restauré avant d’attaquer une courte mais forte pente qui nous ramène aux voitures. Nous terminerons par un crochet à Mâcon, histoire d’un pèlerinage à Décathlon et de diverses courses dans les zones commerçantes qui jalonnent la N 6.








Nombreuses explications et photos sur Google, images correspondant à Solutré et sur Solutré.com

Marche douce du 10 mai

Nos habitués étant éparpillés sur la terre entière, nous n'étions que 7 au départ. On enregistrait avec plaisir le retour de Jean-François longtemps éloigné des marches à cause d'une surcharge de travail et de réunions mal placées. Pour être douce, la balade fut douce, la première et unique côte sous la chaleur retrouvée nous ayant coupé les pattes. Nous n'avons donc fait que la moitié du circuit en 8, soit 4 km. Les mathématiques n'ont jamais été mon fort et je crois bien que mon raisonnement présente une faille mais il me va bien. Nous nous en sommes tenus au parcours digestif des dimanches après-midi, le Mordeau, Champmartin, Champ de la Croix et retour au bourg. A Champmartin, un panneau des Balades Vertes a été arraché et jeté en contrebas du chemin. Pourquoi ? Par qui ? La bêtise ne s'explique pas, elle se constate.  

Broye est en zone de montagne

Mont d'Arnaud

Monique se veut convaincante mais tout va bien entre le Maire et son adjointe

Depuis le Champ de la Croix


Fête de la Rando UFOLEP 8 mai

Nous avons organisé bien des rassemblements multisports autour de la fête de la rando UFOLEP le 8 mai mais c’est la première fois que nous nous retrouvions à Uxeau.
Nous savions que nous allions être bien accueillis, la réputation du club présidé par Jean-Paul n’étant plus à faire en ce domaine.
Les cyclos d'Autun au départ

Le groupe est étiré

Regroupement

Le terrier de la Wivre

On n'y a vu que du vert

En attendant les discours
Les cyclotouristes, malgré une petite averse  tombant pile au moment du départ, s’élançaient pour un circuit de 70 km avec une variante le ramenant à 50 pour ceux qui le souhaitaient. Les randonneurs partaient à leur tour, un peu trop tard pour aller au-delà de 10 km  dans la matinée. Le ciel menaçant se retenait de nous arroser ce qui était remarquable en ce printemps exceptionnellement pluvieux.
Le parcours vallonné, entre bocages et bois convenait aux 43 participants.
Nous nous retrouvions 66 pour écouter les brèves allocutions, partager un repas de qualité pas trop lourd car il fallait être capable de bouger l’après-midi.
La pluie, cette fois était bien présente, donc pas question d’organiser le traditionnel tournoi de pétanque. A la place, nous avions la possibilité de nous initier au tir à la carabine laser, occupation qui pouvait se pratiquer en intérieur et qui a su séduire les pratiquants .
Nous avons instauré depuis plusieurs années une partie découverte culturelle. Jean-Paul avait sollicité un artisan minotier pour une visite de son moulin mis en activité pour nous ce jour férié. Un groupe important s’était laissé tenté par cette visite et ils n’ont pas été déçus.
Une douzaine d’intrépides randonneurs repartait pour un circuit de 8 km sous la bruine.
On peut dire que cette journée aura été une réussite, le tir et la visite du moulin ayant apporté une touche innovante.
AMUR était peu représenté, la Galipote et le mauvais temps avaient disséminés les adhérents. 
Seuls, Dominique et Bernard étaient venus soutenir le Président.