MARCHE DOUCE CHEZ LES
BROGELIENS
C’était pour ainsi
dire la fête de Noël ce jeudi 4 décembre puisqu’il a eu l’immense privilège
(encore une fois) de parcourir les 9 km du circuit accompagné de 9 mères Noël.
Nous avons emprunté quelques
rues tranquilles du Breuil, des chemins et des petites routes à travers champs,
un sentier en sous-bois, traversé un lotissement pimpant, longé le petit plan
d’eau du bourg, fait une halte devant l’église et le château, nous sommes
sortis du Bourg pour voir plus loin…
Nous avons vu des TGV,
un père Noël sur une échelle qui, pauvre vieux barbu, n’atteindra jamais sa
cheminée, des ronces en fleurs et des mûres mures, un père Noël sur son traîneau,
irrémédiablement figé dans un jardin, des fleurs d’été, des feuilles d’automne,
un tout petit érable tout jaune, un père Noël sur un arbre fruitier, mais qu’allait-il
faire dans cette galère ?, un cormoran noir en vol, des arbres nus, le
Creusot plus loin, l’allée de séquoias géants du Villard, la montagne des Trois
Croix encore plus loin …
Le
saviez-vous ?
On
a découvert sur la commune du Breuil de nombreux silex taillés, des pointes de
flèches datant du néolithique ainsi que de nombreuses pièces romaines de
l’époque gallo-romaine à l’emplacement du bourg, de la mairie et à l’arrière du
château.
Le
toponyme Breuil serait issu du gaulois
« breialos » et du carolingien « brolium » désignant
un espace clos. Le premier seigneur connu serait Hugues du Breuil, au 11ème
siècle.
L’andouillette est au
Breuil ce que le nougat est à Montélimar, la bêtise à Cambrai et le chichi
fregi à l’Estaque ! On la fête
chaque année fin juin, depuis 1973.
3726 brogéliens
d’après le recensement 2011.
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