Le changement, mieux, le
grand chambardement c’était ce jeudi 15 décembre !
L’affiche diffusée pour
attirer le doux-marcheur annonce Brandon, alors on se dit qu’on va faire le
sempiternel tour de l’étang, comme chaque année depuis longtemps, dans le froid piquant, la brume voire le
brouillard, sous un ciel gris, dans la neige, sur la glace, méconnaissable dans
sa doudoune, le bonnet à pompon enfoncé
jusqu’aux yeux. Bref, on se dit qu’on va
le faire quand même (ah oui et faudra pas oublier les gants) le classico
d’avant Noël.
Mais les deux têtes
organisatrices de la marche douce ont tout prévu pour surprendre la
troupe : ciel bleu et soleil à faire pâlir les gens du sud, douceur
printanière, juste assez de flaques pour que Daniel G puisse y tremper ses
bottes, campanules, pâquerettes en fleurs et un circuit déroutant par le
château de Brandon, la belle allée des chevaux, les Rinchis, un chemin privé en
forêt qui descend jusqu’à la Queue de l’Etang avec, pour apporter un peu de
piquant, une erreur d’orientation (préméditée ?), quelques ronces et
broussailles. On rejoint l’étang malgré tout et on termine la boucle par les
Charbottins et la digue.
On avait dit :"En file indienne !"
Une brèche dans le mur de Brandon.
Le château.
La dernière fois, j'avais pu prendre une douche.
Mirador pour cow-boy.
Ceci n'est pas une dispute mais un dialogue passionné sur un point de botanique à moins que ce ne soit sur le dernier film.
Paysage verdoyant au 15 décembre.
Voilà le chemin par lequel nous devions arriver.
Avec le réchauffement climatique, les fleurs sont devenues totalement beurdines. Je ne vous dis pas, en ce qui concerne les hommes !
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