Marche douce sur Mesvres.

Douce comme le temps ; aussi nous sommes-nous retrouvés 26 au départ sur le parking du stade de Mesvres. Chaque sortie nous réserve la surprise de découvrir de nouveaux marcheurs. Le groupe s'étoffe. Nous nous en réjouissons.
Nous franchissons d'abord les deux bras du Mesvrin sur les deux ponts jumeaux dont la construction aurait été entreprise pour que Mme de Sévigné puisse se rendre à Toulongeon sans embarras lorsqu'elle rendait visite à sa famille. Marie de Rabutin-Chantal, connue comme la marquise ou, plus simplement, Madame de Sévigné était la petite fille de sainte Jeanne de Chantal et la cousine de Roger de Bussy-Rabutin.


Autre particularité de Mesvres, ses deux passages à niveau dont l'un est la hantise des convois exceptionnels et des voitures surbaissées. Justement, un TER coupe notre trajet.


Nous quittons la route pour suivre le chemin du Creux au Chien. Deux représentants de cette engeance nous aboient mais une solide barrière nous sépare de leurs crocs aiguisés.


Noël nous incite à la prudence lorsque nous débouchons sur la D 61. Le bas-côté est assez large et nous marchons en file indienne pour ne pas fouler la chaussée.
Nous nous rassurons en prenant la petite route du Mousseau. Les vaches n'ont pas toujours un  terrain facile.
Au loin, au pied de la Certenue, des bûcherons s'activent.




Il nous reste un petit kilomètre à parcourir. Nous avons tout notre temps et ce pont de pierre servira de siège pour une halte prolongée.


  Nous repartons pour découvrir une exposition d'art rural contemporain décadent. 




La prochaine marche douce sera classique avec départ de la Pierre de Couhard mais auparavant, nous ferons le circuit de Bellevue , occasion d'emprunter un chemin rural annexé depuis de longues années que nous avons rouvert.

Aucun commentaire: