Nous nous croyions déjà au printemps mais nous ne savions pas qu’à la saint Rodrigue, l’hiver se rappelle à notre souvenir. Trois petits degrés au départ mais pas de chute significative de neige fondue. Après quelques hectomètres les dix participants n’avaient plus froid.
Le tour de l’étang de Brandon fait partie de nos circuits classiques. Pour le rendre un peu plus sportif, il est agrémenté d’un crochet par les bois. Il reste une marche douce avec ses 6,5 km et son dénivelé de 84 m.
Il n’y avait pas pléthore d’oiseaux sur l’eau, quelques cormorans, des canards sur un petit étang voisin et une foulque solitaire.
Dans le bois, nous eûmes la surprise de rencontrer une bête faramine, oreilles dressées et museau saillant. Ce n’était qu’une « queule », vestige d’un arbre foudroyé ?
Jacques qui cherche désespérément un bûcheron susceptible de lui livrer du bois est tombé en arrêt devant un trésor, quelques stères soigneusement empilés et bien tentants.
La pause « blagounettes » est devenue une tradition dans les marches douces. Elle a été respectée.
Ce bol d’air vivifiant a été apprécié. Il suffisait de se faire un peu violence pour quitter le confort douillet de nos logis.
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L'étang de Brandon. |
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En cercle pour raconter ou écouter les blagounettes. |
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2 clichés pour que les photographes apparaissent. |
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La bête monstrueuse. |
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Elle nous attendait, à l’affût derrière un arbre. |
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La tentation. |
Le parcours. |
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