Pour notre première sortie de septembre, nous avons de nouveau vérifié
et prouvé que « La pluie du matin n’arrête pas
l’amurien. » Rien ce
matin gris, triste et pluvieux ne laissait présager autant de clarté, de
soleil, et de cumulus blancs dans le ciel bleu.
Sachant que nous étions 9, que nous avons attaqué le circuit de
6km500 à 14h, que nous avons fait 8 haltes – toutes nécessaires, il va de soi -
que nous avons terminé 2 heures 45 minutes plus tard à 16h45, vous serez
d’accord pour admettre que nous avons scrupuleusement respecté le cahier des
charges des marches DOUCES.
Nos 8 haltes nécessaires :
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Au
lieu-dit « La Pierre au Chat ». Ce nom méritait bien quelques
hypothèses... un chat perché sur une pierre ? une pierre autour de
laquelle on venait chatter ? …
·
C’est
quoi ces fleurs ? de la callune, la fausse bruyère.
·
L’étang
de la tour et ses beaux reflets. La tour de Champitaux, elle date de
quand ? comme la tour de St Sernin et la tour du Bost. Vous avez vu,
elle est complètement recouverte de lierre ! On dirait la tête d’un gros chat !
·
Après la
traversée de la D49 pour vérifier qu’on est bien tous là, sains et saufs.
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Après les Marcottins. Tiens y a du houblon dans
la bouchure et qui dit houblon dit bière, qui dit bière dit Chouffe,
Chimay…
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Devant
une vieille chaudière à tambouille pour les cochons.
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Pour la
xième fois pour re re re lire le panneau de la Pierre de Champitaux.
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A la lisière du Bois des Mouille-Claude pour
parler blob et champignons avec Brigitte :
les ascomycètes (la truffe, la morille, la pézize…)
qui comptent plus de 150 000 membres et dont les spores sont contenues
dans des asques, petites coupes.
les basidiomycètes (bolets,
pleurotes, agarics…) qui ont un pied et dont les spores sont portées sur des basides,
cellules spécialisées.
Blob ??? organisme vivant
unicellulaire ni animal, ni végétal, ni champignon.
« Et si un humble organisme unicellulaire issu des tréfonds des forêts
était à l’origine de découvertes majeures? Se pencher sur le cas de Physarum polycephalum,(blob)
c’est aller de surprise en surprise. Dotée d’exceptionnelles capacités de
régénération, cette espèce du genre dure à cuire peut à loisir se diviser ou
fusionner avec ses congénères, gère ses repas bien mieux que n’importe
quel nutritionniste et se paie même le luxe d’apprendre de nouveaux
comportements et de les transmettre à ses semblables. » https://www.letemps.ch/sciences/2017/06/02/blob-rencontre-un-ovni-monde-vivant
ou
lien pour voir le film de la conférence de Audrey DUSSUTOUR.
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